Et sinon… – Sortir à Marseille

Venez participer à l’inauguration du City Stade Les Micocouliers

Le samedi 18 janvier 2025 sera inauguré le nouveau City Stade Les Micocouliers, dans le 14e arrondissement ! À partir de 14h auront lieu plusieurs activités, dont des animations sportives et un grand goûter, en présence de Benoît Payan, Maire de Marseille.

Un projet pour dynamiser et sécuriser le quartier

Ce nouveau lieu central pour le quartier a été créé dans le but de favoriser les rencontres et l’activité physique pour tous. Il est ouvert aux familles, aux sportifs, aux passionnés, comme à ceux qui veulent simplement se retrouver.

Il est le résultat de nombreuses réunions publiques et de concertations avec les résidents du quartier, pour identifier précisément leurs besoins. Ainsi ce projet vise à offrir aux familles un lieu moderne et fonctionnel, répondant pleinement à leurs attentes.

À la place d’une décharge sauvage à ciel ouvert et à proximité des écoles et de la piscine municipale, ont été créés, pour 300 000 euros :

– un city stade complet avec des terrains de football et de basket,
– un espace de jeux pour enfants,
– un terrain de pétanque rénové.

Programme du samedi 18 janvier 2025

À partir de 14h
Inauguration par Benoît Payan, Maire de Marseille

Grand goûter : cookies, barbe à papa
Stand maquillage
Château gonflable
Ludothèque
Animations sportives

Toute la journée, profitez de la fête de quartier !
Fête de quartier organisée par l’amicale des locataires des Micocouliers, l’association Dunes et le centre social Saint-Joseph Fontainieu

Nature peinture

Nature peinture
« Les graveurs sont graves. »
Pascal Quignard dans Terrasse à Rome.

« La volupté c’est l’étreinte d’un corps de mort par deux êtres vivants. Le « cadavre », dans ce cas, c’est le temps assassiné pour un temps et rendu consubstantiel au toucher. » Malcom de Chazal.

Dans son cabanon la vie s’était simplifiée à outrance.
Le matin commençait par le café et la clope et puis venait la première baignade.
Il avait l’impression en nageant de voler au dessus de collines immergés, tous les poissons volaient autour de lui. La rencontre d’un poulpe était une augure positive pour le restant de la journée. Le poulpe était pour lui une figure totémique, animal rusé et polymorphe passé maitre dans l’art de la disparition grâce à l’opacité de l’encre, grand imitateur de couleurs et de matières.
Comme tout le petit peuple des nageurs qui nageaient toute l’année il pensait le bain comme un rituel et une drogue qui guérissait presque tout opérant alchimiquement une transformation sur le corps et l’esprit.
Après la douche chaude le bain de couleur (teinture) était terminé et il pouvait se mettre dehors au soleil devant la mer pour commencer à soustraire la couleur. La javel se révélais mieux par grand soleil, action entre la danse et la calligraphie. Pour les grands formats il allait au bout du monde, le bout de l’esplanade du pont supérieur.
Il appelait ça de la peinture, de fait il y avait de la couleur et des pinceaux, mais c’était plus proche de la gravure, il opérait des soustractions.
Son motif de départ était les reflets et zébrures de soleil sur la mer.
Ça s’était étendu à des sensations de baignades et des mouvements aquatiques.
Il était arrivé aux splatchs : plongeons, vagues de tempête, éruptions volcaniques et jouissances multiples. Il prenait moultes photographies de son motif de manière quotidiennes attentif aux changements infinis de la lumières sur l’eau et le paysage. Il en faisait ensuite des tirages sur des papiers diverses. Le plus fin comme un papier à cigarette était sensible au moindre courant d’air et était comme tatoué par l’encre. L’ensemble des murs du cabanon tel une boite crânienne grotte était recouverts de toutes ces images et figures. Il pensait qu’il n’y avait plus de différences dans les médiums, ils étaient tous liquides.
Il se disait que la journée réussie se tenait là, dans la simple addition de joies multipliées.
Il se disait qu’une vie élémentaire se tenait là, dans la multiplication des journées réussis jusqu’à la soustraction ultime.
Et entre temps : la volupté.

Festival la nuit des griots – stage de danse avec Fanta Camara et Joséphine Viollet

Plongez au coeur des danses traditionnelles guinéennes avec ce stage animé par deux artistes de renom :

– JOSÉPHINE VIOLLET est une danseuse, chorégraphe et pédagogue française, spécialisée dans les danses traditionnelles de Guinée. Elle allie un riche parcours en danse africaine, classique, contemporaine et hip-hop. Elle est reconnue pour son approche pédagogique unique.

– FANTA CAMARA est une artiste guinéenne qui excelle en danse et en chant traditionnels. Issue du ballet Gbassikolo de Conakry, elle a ensuite rejoint le Circus Baobab pour des tournées mondiales. Membre du groupe Wamali Percussions, Fanta partage son art en animant des stages dans toute l’Europe.
Elles seront accompagnées par de talentueux musiciens pour sublimer chaque mouvement au rythme du balafon et du djembé : Sory Diabaté, balafoniste guinéen de talent, Sory est issu d’une lignée de griots et se distingue par sa maîtrise technique du balafon et son sens du rythme unique. Zaky Sanou, originaire du Burkina Faso, Zaky est un griot polyvalent, expert en djembé, balafon et autres percussions traditionnelles.

Musiciens accompagnateurs : Alpha Condé et Lamine Tamboura.

– 25 avril – 17H30 > 19H30 : Cours avec Fanta Camara & Joséphine Viollet.
– 26 avril – 10H00 > 12H00 : Cours avec Fanta Camara – 13H30 > 15H30 : Cours avec Joséphine Viollet.

Réservation obligatoire par mail ou téléphone.

Vente de pastels sénégalais sur place.

Port d’attache, port d’exil, port détruit, Marseille des débuts de la Seconde Guerre mondiale à la Libération

Parcours urbain gratuit du Mémorial des déportations avenue Vaudoyer (2e) au Musée d’Histoire de Marseille, 2, rue Henri Barbusse (1er).

À l’issue d’une présentation du Mémorial des déportations, le visiteur cheminera à travers la Ville, en passant par les quartiers dynamités par les allemands en 1943 et reconstruits sous l’impulsion d’architectes dont Fernand Pouillon et Gaston Castel. La vie quotidienne, la diversité des mouvements de Résistance et la Libération de Marseille seront évoqués tout au long de cette balade qui retrace les grands moments de la Seconde Guerre mondiale à Marseille.

• Durée : 2h
• Sur réservation obligatoire au 04 91 55 36 00 ou par mail : musee-histoire@marseille.fr

Evénement : 1944-2024 : Marseille libérée
En août 1944, Marseille se libérait du joug nazi. 80 ans plus tard, la Ville a organisé deux journées de commémorations pour se souvenir de ce moment historique les 27 et 28 août 2024. Cette initiative s’accompagne d’une programmation culturelle variée de septembre à janvier 2025. Ainsi, toutes les Marseillaises et tous les Marseillais pourront célébrer celles et ceux qui ont permis à Marseille de retrouver sa liberté ! Plus d’infos : https://www.marseille.fr/mairie/actualites/il-y-a-80-ans-marseille-liberee-venez-participer-aux-commemorations ! Le Musée d’Histoire de Marseille s’associe à cet événement en organisant de nombreux rendez-vous.

Balade urbaine : Architecture et musique à Marseille du XVIIe siècle au XXe siècle : un héritage artistique

Explorez l’histoire artistique de Marseille et découvrez le lien unique entre architecture et musique lors d’une visite au cœur de la Ville.

Des églises baroques, avec leurs buffets d’orgue sculptés et leurs plafonds décorés de fresques, témoignent de la richesse artistique de la cité. L’opéra municipal, reconstruit dans un style Art déco, l’Alcazar et Les Variétés, temples du music-hall, illustrent l’évolution des styles et l’importance de la musique dans la culture marseillaise.

Parcourez ces lieux emblématiques et laissez-vous emporter par un voyage à travers les siècles, où architecture et musique se mêlent pour dévoiler le patrimoine unique de Marseille. Quelques surprises musicales jalonneront le parcours pour le plus grand plaisir des mélomanes.

• Gratuit
• Réservation obligatoire : musee-histoire@marseille.fr / 04 91 55 36 00

ÉVÈNEMENT : L’OPÉRA FÊTE SON SIÈCLE
L’opéra de Marseille fête ses 100 ans. Une programmation exceptionnelle vous attend pour cette saison 2024-2025︎ dans les différents établissements culturels de la Ville. Au programme au Musée d’Histoire de Marseille en mars 2025 : Vendredi 21, samedi 22 et dimanche 23 mars 2025 : MARSEILLE BAROQUE ET MUSICALE, DE 1685 À NOS JOURS
Dans le cadre de Mars en Baroque, le Musée d’Histoire de Marseille et Concerto Soave programment un week-end dédié à la musique du XVIIe siècle au XXe siècle.

Visites commentées « Du bleu dans les collections »

Découverte du parcours « Infiniment bleu ».

• Tout public, à partir de 12 ans
• Durée : 1h30
• Sans réservation, dans la limite des places disponibles

Visites animées « Bleu, c’est bleu ! »

Une visite pour découvrir l’exposition comme les grands… mais avec plein de jeux et devinettes !

• En famille, à partir de 7 ans
• Durée : 1h
• Sur réservation, dans la limite des places disponibles, par courriel à chateau-borely-musee@marseille.fr

La Voie est libre

Dimanche 17 novembre se tenait la 25e édition de “La Voie est Libre”, et dernière de l’année 2024, qui a vu défiler plus de 22 000 promeneurs de 10h à 17h !

Les éditions 2024 marquent un record de fréquentation pour le dispositif, avec plus de 230 000 participants cette année. En février 2024, la réouverture de La Voie est Libre avait rassemblé sur la Corniche Kennedy près de 37 000 participants, record exceptionnel de la saison.

Le dispositif, qui fait la part belle aux promeneurs et aux mobilités douces, réunit, depuis 2021 plusieurs fois par an, des milliers de Marseillaises et de Marseillais afin de profiter d’un littoral apaisé et piétonnisé, de la plage des Catalans jusqu’au parc Talabot.

À chaque édition, « La Voie est Libre » propose une large gamme de services gratuits, allant de la restauration à des animations culturelles, musicales et sportives. Les visiteurs peuvent ainsi participer à des activités variées telles que des cours de danse ou encore des ateliers de jeux de société, dans une ambiance conviviale et accessible à tous.

En libérant cet axe fréquenté du bord de mer, la Ville de Marseille renforce son action en faveur d’un cadre de vie plus apaisé rendu aux Marseillaises et aux Marseillais.

Après le succès de La Voie est Libre en 2024, les Marseillaises et les Marseillais pourront se promener librement sur la Corniche en février pour la première date de l’édition 2025.

Les prochaines dates de La Voie est libre :

Dimanche 23 février 2025

Dimanche 23 mars 2025

Dimanche 13 avril 2024

Dimanche 11 mai 2025

Dimanche 22 juin 2025

Retrouvez le programme complet, les contraintes de circulation et de stationnement sur Marseille.fr

Un dimanche aux Aygalades

Tous les premiers dimanches du mois, le rendez-vous curieux et gourmand à la Cité des arts de la rue.

De 10h à 14h – Marché de producteur·rice·s locaux et locales Consommez sur place ou emportez les produits des exposant·e·s ! L’occasion de rencontrer les passionné·e·s des environs.
Avec : maraîcher·e·s, boulangèr·e·s, fromagèr·e·s, vigneron·ne·s natures, brasseur·e·s, confiseur·se·s, artisan·ne·s, … et petite restauration

De 10h à 14h – Découverte du jardin de la cascade en visite libre
Accédez à un parcours botanique et artistique augmenté d’une balade sonore qui vous conduit au jardin de la cascade des Aygalades.

De 11h à 12h – Conférence sauvage « Voix d’eau »
Des connaisseur·se·s ou spécialistes sont accueilli·e·s à la Cité des arts de la rue pour parler de sujets divers, toujours autour du même thème : l’eau et le fleuve côtier des Aygalades.

A 12h30 – Rendez-vous artistique
Laissez-vous embarquer par la diversité de l’art en espace public

Evénement gratuit sans réservation, restauration possible sur place, organisé par Lieux publics et le Bureau des Guides-GR2013 avec la complicité du collectif des Gammares.

En amour

« Certains veulent partir sur Mars, nous on préfère partir en amour. » Adrien Mondot et Claire Bardainne ont inventé En amour, une expérience immersive et interactive saisissante, à l’intersection du spectacle vivant, de la performance et de l’installation d’art visuel.

Dans un large espace épuré, de très belles vidéos poétiques sont projetées face et sous le public. Faisant partie intégrante de l’œuvre, le corps de chacun, en mouvement, est immergé dans l’image et la musique spatialisée.

Déambulant pieds nus dans cet environnement, nous plongeons dans un récit à la fois personnel et collectif autour du thème de l’amour. Une histoire intime qui, progressivement, s’ouvre sur quelque chose de plus grand que nous.