En cœur, Tchikebe invite Blazers / Blasons

En cœur, Tchikebe invite Blazers / Blasons - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Atelier Tchikebe - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 03 mai 2024 de 18h à 22h

Sept ans après leur première collaboration, Tchikebe réinvite le collectif La Valise afin d’exposer dans l’intégralité son projet « Blazers / Blasons » et ses derniers développements : « DOGGERLAND » et « Poche de coeur et dos brodé ».

Dans la continuité du travail entamé avec le sérigraphe lillois Alain Buyse en 2005, Tchikebe invite une sélection d’artistes à produire une estampe orignale signée et numérotée.

*Le projet Blazers / Blasons développe une création au sens large, dans les champs de l’art contemporain, de la mode et de l’artisanat. Point de départ et fil conducteur, l’armoirie du blason de Nantes et sa devise : Favet Neptunus eunti, Neptune favorise ceux qui voyagent, ceux qui osent.

*Le Collectif La Valise invite des artistes à concevoir leur propre blason : il s’agit d’une image conceptuelle qui sert de base à la production de multiples et d’objets édités présentés en plusieurs collections au cours d’expositions et d’événements depuis 2016.**

Tchikebe / Collectif La Valise

Dans le cadre de vendredi 3 mai : Belsunce | Joliette | Panier | Bougainville | Estaque et du festival PAC

Ghost Town

Ghost Town - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Double V Gallery - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 17 avril 2024 de 18h à 21h

Pour sa prochaine exposition, la galerie est heureux de présenter un dialogue entre les œuvres en marbre d’Alice Guittard avec celles des artistes Taisiia Cherkasova et Matisse Mesnil.

Née en 1986, Alice Guittard est une artiste française basée à Paris et à Lisbonne.
Née en 1991, Taisiia Cherkasova est une artiste originaire d’Ukraine, basée à Paris.
Né en 1989, Matisse Mesnil est un artiste italien basé à Paris.

Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC

On ira dormir sous les tribunes

On ira dormir sous les tribunes - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Frac Sud Cité de l'art contemporain - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage : Vendredi 26 avril 2024 de 18h00 à 22h00

Invité·es par le Frac Sud pour une nouvelle carte blanche dédiée à la jeune création, les étudiantes et étudiants de l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini investissent le plateau expérimentations du Frac Sud, dans le cadre de l’exposition Des exploits, des chefs-d’œuvre, et en lien étroit avec son propos.

Sous le titre On ira dormir sous les tribunes, douze étudiantes et étudiants développent leur vision du sport à travers différents médiums (vidéo, animation, volume, peinture, dessin, objet/installation et performance).

La dimension performative de nombreuses pièces permettra une mise en mouvement régulière des œuvres dans la durée de l’exposition. Preuve s’il en est que le sport constitue désormais un sujet, et plus encore pour cette génération émergente, les propositions balayent un large spectre des questions du moment (esthétiques, économiques, politiques, liées au genre…).

Elles sont ici traitées avec grandes précision et pertinence, dans un regard tout à la fois poétique, critique et humoristique. L’une de leurs qualités principales réside à nos yeux dans le fait que jamais elles n’ont cédé à la plate illustration, aux généralités paresseuses sur le sport et les Jeux Olympiques de Paris 2024.

Ici, comme dans l’ensemble de Des exploits, des chefs-d’oeuvre, on s’attache à ce que l’art dit du sport et, plus encore, à ce que le sport dit de l’art.

Étudiant·es
Mathilde Beauvois, Noé Cambon, Woojung Choi, Aloïs Frost, Joséphine Hasselin, Laura Jacob, Haeun Jo, Ariel Lancman, Sunyoon Park, Louis Marie Ropars, Lila Schpilberg, Nemo Turbant

Artistes enseignant·es
Catherine Melin, Abraham Poincheval, Jérémie Setton

Commissariat
Jean-Marc Huitorel

Frac – plateau expérimentations
En partenariat avec l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini (ESAAix).

Matières à Rêver – Anne-Marie Vesco

Matières à Rêver – Anne-Marie Vesco - Culture Expositions - Rétrospectives Exposition - Galerie Béatrice Soulié - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le vendredi 5 avril dès 17h

Anne-Marie Vesco est née en hiver et en Isère. Son milieu social ne la prédispose ni à s’engager dans une voie artistique ni à envisager des études supérieures qu’elle poursuivra pourtant à Lyon puis à Cachan d’où elle sort agrégée en Dessin et Arts appliqués de l’ENS Paris Saclay.

Artiste-enseignante à l’ENSAAMA de Paris de 1996 à 2011, puis indépendante en 2012 elle développe une œuvre d’une grande diversité formelle. En séries foisonnantes s’adressant directement à l’inconscient qu’il s’agisse de Peaux d’éléphants, Corps, Paysages, Vanités ou Curiosités.

En 2014, elle utilise des supports atypiques, comme les radiographies, le verre (fixés-sous-verre), les miroirs (peinture sous tain décapé), la résine transparente avec des inclusions (insectes, reptiles, cheveux, bijoux, poupées, végétaux, etc.) peinte à l’huile « en inversé » par couches successives. Depuis le cadre qui servira de serti jusqu’à la peinture blanche arrière, tout est à l’envers. Sans dessus dessous.

Un traitement minutieux qui sublime les scènes et les figures d’un monde baigné d’ombre et de lumière.

Cette « mise en scène » fait basculer les repères visuels sous un effet loupe magnifiant. On ne sait plus très bien distinguer le vrai du faux, le support du relief.

Si on ajoute l’étrangeté du fantastique et l’irruption de l’anormal, on obtient un surréalisme aussi étincelant que ténébreux.
Anne-Marie Vesco travaille avec des matériaux, approches et techniques improbables, sans mettre de barrières entre ce qui relève d’inspirations artistiques populaires ou savantes.

« Quand j’étais petite, on me disait que les cabinets, la curiosité, tout ça, c’était des vilains défauts. Mais c’est en cultivant l’égarement et ce retour vers l’enfance que j’ai trouvé mes
chemins dans la création. Mes travaux dérangent et font peur peut être, mais ils font aussi rêver. Je n’ai jamais cherché un style. Il est venu à moi, à force de regarder le monde en m’inspirant de ce que je trouve magique : les boules à neige, les fixés sous verre, le cinéma d’animation du russe Youri Norstein. Qu’on ne puisse pas facilement classer ma production dans un champ des arts, contemporain, artisanal, singulier … eh bien, tant mieux. C’est la mienne.
L’art, c’est la vie, qui n’existe pas sans la mort, une sorte de miroir où l’artiste et l’amateur se rencontrent chacun de leur côté. »

Tout récemment des objets assemblés en volume ont rejoint les cadres anciens dans une même démarche de perte des repères. Le naturel rejoint l’artificiel, la résine modelée transforme les coquillages, des plumes douces au toucher poussent aux ailes des sirènes. Ces assemblages « fauthentiques » sont infiniment poétiques. À force de dialoguer avec les plis et les éclats, l’artiste a fini par les traverser pour nous embarquer vers un autre monde.

HypoStrata – Darla Murphy

HypoStrata – Darla Murphy - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Art-Cade / Grands Bains Douches de la Plaine - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 02 mai de 18h à 00h

Darla Murphy & Sarah Lolley

L’exposition « Hypostrata » propose la mise en espace d’un travail artistique en cours élaboré à partir de la peau de mouton utilisée comme matière première. Jetées après abattage par manque de rentabilité, les peaux que récupère l’artiste Darla Murphy sont travaillées de manière autodidacte et passent du statut de rebut agroalimentaire à celui de matériau mort-vivant.

Les stratifications temporelles et matériologiques qui se déploient dans les œuvres invitent à circuler dans une installation labyrinthique qui articule les différentes traditions culturelles et cosmologies paysannes faisant écho aux techniques des métiers du cuir.

Des figures d’ermites habitent les parois et nous racontent le lien intime entre l’industrie et le vivant et entre le bricolage ou la rétro-ingénierie et les savoir-faire artisanaux dans une perspective post-capitaliste.

Dans le cadre du festival PAC

Les 40 ans de la marche pour l’égalité et contre le racisme

Les 40 ans de la marche pour l’égalité et contre le racisme - Culture Expositions - Rétrospectives Sciences humaines et sociales Exposition - Mairie des 2e et 3e arrondissements - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Exposition organisée et conçue par le collectif Mémoires en marche

Anthony Krehmeier, Maire des 2e et 3e arrondissements de Marseille, vous attend nombreux au vernissage de l’exposition qui aura lieu :

Vendredi 12 avril
à la Mairie du 2/3, au 3 place de la Major
dès 18h

Partis du quartier de la Cayolle et après avoir traversé plusieurs quartiers de Marseille jusqu’aux Flamants, quelques jeunes remplis d’espoir ont entamé une épopée improbable à travers toute la France pour arriver à rassembler plus de 100 000 personnes à Paris le 3 décembre 1983. L’émergence d’une deuxième génération post-coloniale prenait conscience des inégalités banalisées. Le climat de l’époque était celui de meurtres racistes, de ratonnades et de discriminations perpétrés dans toute la France.

Ce climat a-t-il changé 40 ans après ? L’égalité demandée à coups de pancartes, de slogans et de chansons, est elle une réalité ? Les discriminations et le racisme sont toujours présents voire renforcés.

Cette exposition se veut avant tout militante. Elle a deux objectifs principaux : donner les clefs de lecture, en apportant des informations jusque là connues des seuls initiés et permettre aux jeunes générations de mieux appréhender cette histoire collective qui a suscité tant d’espoir et de désillusions. Inscrire cette histoire « TAA’NOUS » dans le roman national est la raison d’être de cette exposition.

LUNAS BLANCAS – NOCHES LLENAS

LUNAS BLANCAS – NOCHES LLENAS - Culture Expositions - Rétrospectives Exposition - Pôle des Arts Visuels - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Artiste : Edwin CUERVO

Au coeur d’un quartier baigné de soleil entre terre et toile, le Pôle des Arts Visuels de l’Estaque vous propose tout au long de l’année, une série d’expositions dont le spectre devrait répondre aux attentes les plus diverses. Le Pôle des Arts Visuels vous offre une exquise diversité d’artistes grâce à un panel de créateurs des plus éclectiques.

A travers LUNAS BLANCAS – NOCHES LLENAS, nous comprenons que l’image photographique et vidéo prend une place importante dans le travail d’Edwin CUERVO. Il questionne les relations que le paysage entretien avec l’activité humaine, notamment industrielle, cherchant à développer un travail via des processus créatifs afin de sublimer la matière, le vivant et la dimension cyclique de la nature.

Vernissage: vendredi 3 mai à 18h

Le Mauvais Œil 71 : Muzo

Le Mauvais Œil 71 : Muzo - Culture Expositions - Rétrospectives Arts plastiques / graphiques Exposition - Friche Belle de Mai - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

« Muzo », de son vrai nom Jean-Philippe Masson, est né en septembre 1960 à Rennes. Il a grandit à Caen et y rencontre en 1976 Jean-François Duval (« Placid ») avec qui il fonde le Journal de Placid et Muzo, un graphzine débordant de dessins sauvages tiré à moins de 300 exemplaires qui – tout en faisant référence aux célèbres personnages un peu niais de Pif-Gadget – s’engouffre dans la brèche ouverte par les revues graphiques du groupe Bazooka. Il fréquente les Beaux-Arts de Caen et de Paris ainsi que l’École supérieure d’arts graphiques Penninghen.

Depuis 1979, il vit à Paris. Ses premiers dessins paraissent dans Charlie, Hara-Kiri, Métal Hurlant et Libération. Il participe à de nombreuses expositions de peinture, crée des dessins animés pour la télévision et publie régulièrement des livres.

Marstlanta

Marstlanta - Culture Expositions - Rétrospectives Arts plastiques / graphiques Hip-hop Exposition - Friche Belle de Mai - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Marstlanta est un projet de création sonore basé sur des archives musicales, des enregistrements de paroles et de bruits des rues des deux villes. L’objectif : créer un pont entre Marseille et Atlanta par et pour la culture hip-hop.

Parfois dénigrées, souvent fantasmées, Marseille et Atlanta subissent des transformations sociologiques et urbaines en accéléré. Situées à plus de 7000 km de distance, ces capitales périphériques ont aussi pour point commun d’avoir été placées sur la carte grâce au rap. Le projet propose de réunir les voix, les ambiances sonores et visuelles de ces deux planètes singulières dans une troisième ville imaginaire appelée MARSTLANTA.

Conçue comme une mixtape documentaire avec Djellali El Ouzeri aux manettes, cette exposition sonore et visuelle esquissera trente ans d’histoire musicale et de mutations urbaines des “sale sud” au travers des témoignages d’habitants, d’intellectuels et d’acteurs de la scène hip-hop issus de différentes générations. L’artiste invite, via sa transcription sensible, à expérimenter des sensations, des découvertes et des réalités constitutives de ses deux villes réunis dans un nouvel espace-temps.

Une expérience immersive qui propose un voyage singulier au cœur de ce territoire allégorique.

UNE RÉSIDENCE DE CRÉATION

De sa résidence de recherche et création en 2023 à la Villa Albertine à Atlanta est né son projet d’exposition MARSTLANTA. En s’appuyant sur ces deux thématiques de création : « Géographie sonore, art, culture et transmission : Dirty South vs Sale Sud » et « Innovation, transition, gentrification et politique », cette résidence lui a permis de faire de nombreuses rencontres d’acteurs majeurs de la ville d’Atlanta en relation avec sa recherche (chercheur·euses, activistes, habitant·es, artistes, leaders institutionnel·les et économiques).

Pendant cette résidence, il a donc réalisé plusieurs types de prises de sons (field- recording, enregistrement musicaux, interviews) ainsi que des photographies et vidéos. En amont de sa résidence à Atlanta, il avait réalisé ce même travail de recherche et de production à Marseille.

DJELLALI EL OUZERI

Djellali El Ouzeri aka DJ DJEL est né à Marseille en 1974 et rencontre la culture hip-hop en 1989. Il est vite attiré par la fraîcheur de cet art et ses différentes disciplines. Il s’essaie à la danse, au graffiti (qu’il pratique toujours, à l’écriture, avant de découvrir le deejaying, le sample et la recherche musicale). De 98 à 2006, il sortira chez Sony Music, plusieurs disques avec son groupe la FONKY FAMILY (plusieurs fois certifiés Or et Platine). À partir de 2007, il produit d’autres projets d’artistes (albums, compilations, mixtape) sur son label DON’T SLEEP. Il a collaboré sur scène ou sur disque avec des artistes reconnus au niveau national et international (Oxmo Puccino, IAM, Akhenaton, Soprano, Kendrick Lamar, Napoleon Da Legend, Infamous Mobb).

Beatmaker et producteur de musique électronique (Rap et autres), il continue d’échanger autour de plusieurs sujets avec des artistes de tous bords. (Plasticiens, réalisateurs, danseurs, peintres et chanteurs (opéra, slam, chant, rap). Il transmet son savoir autour du mix, du scratch et de la composition dans une école de DJ qu’il a créé avec l’Affranchi depuis 2017 et est artiste associé et coach scénique pour l’AMI auprès d’artistes émergents de la scène locale. Il continue de performer en concerts et en club. Djellali El Ouzeri a participé à la réalisation de la pièce principale de l’exposition 360° Hip-Hop, Gloire à l’Art de rue (titre de la FF) présentée à La Philharmonie de Paris.

Printemps de l’Art Contemporain (PAC)

Printemps de l’Art Contemporain (PAC) - Culture Expositions - Rétrospectives Festivals - Fêtes Art contemporain Exposition Festival - Nombreuses galeries et lieux d'expositions marseillais - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La 16e édition du festival Printemps de l’Art Contemporain, organisée par le réseau PAC, se tiendra du 2 au 19 mai 2024 dans 75 lieux d’art contemporain à Marseille, Aix-en-Provence, Port de Bouc, Istres, Miramas, Rognes, Châteauneuf-le-Rouge et Rousset.

Avec un week-end d’ouverture à Marseille, des nocturnes par quartier, une grande clôture festive à Aix-en-Provence en collaboration avec la Biennale d’Aix, et des circuits en navette à destination du Pays d’Aix et des villes du pourtour de l’Étang de Berre, ce sont plus de 150 artistes de la scène émergente française et internationale qui sont invité·es à participer à ce rendez-vous incontournable de l’art contemporain en France.

Depuis 2007, le réseau Provence Art Contemporain fédère des structures engagées dans la création contemporaine, des lieux ancrés dans les centres urbains et les territoires ruraux, issus des secteurs public et privé.
Pendant le Printemps de l’Art Contemporain, les membres du réseau sont rejoints par des structures complices du festival « autour de la même volonté de défendre la création, les artistes, la mutualisation. Nous sommes réunis par la volonté de mettre en commun tous les moyens nécessaires aux artistes pour travailler, nous sommes réunis par la volonté de faire avec tous les publics, dans les écoles, les prisons, les hôpitaux, etc. Avec toutes les dimensions de la société. Les valeurs qui font la puissance créative de notre réseau ne peuvent être séparées d’un devenir-monde. »*

Nous vous attendons dès jeudi 2 mai à 17h pour lancer cette 16e édition avec une grande nocturne dans les quartiers Opéra, Préfecture, Cours Julien et Camas. Le top départ sera donné par une performance dans l’espace public en présence de Jean-Marc Coppola, Adjoint au Maire de Marseille en charge de la culture pour toutes et tous, de la création, du patrimoine culturel et du cinéma.

*Extrait de l’édito de Céline Ghisleri, Laure Lamarre Flores et Paul-Emmanuel Odin, co-président·es du réseau PAC.

Les temps forts du festival

▸ Week-end d’ouverture à Marseille
Jeudi 2 mai · Cours Julien – Camas – Opéra – Préfecture
Vendredi 3 mai · Panier – Belsunce – Joliette – Bougainville – Estaque
Samedi 4 mai · Chapitre – Longchamp – Belle de Mai – Blancarde – Plombières
Dimanche 5 mai · Quartiers Sud et bords de mer

▸ Clôture festive le samedi 18 mai
à Aix-en-Provence en collaboration avec la Biennale d’Aix
à Istres & Port-de-Bouc