Sportilège – Christian Rizk et Julie Audic

Sportilège – Christian Rizk et Julie Audic - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Club 2024 - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Grâce à la technique photographique du projet, l’athlète n’est plus identifiable par sa nationalité, son genre ou sa couleur de peau, ces détails s’effacent dans le temps d’obturation, la notion de compétition s’évanouit au profit du geste et de l’élan. Que ce soit un sportif de haut niveau ou un cycliste amateur, ces oeuvres permettent à chacun de se reconnaître dans chaque athlète car ceux-ci sont dénudés de leurs attributs personnels et la figure qui s’en dégage peut être incarnée par chacun de nous.

Nos oeuvres rassemblent ces disciplines sportives sous un même regard artistique. Ainsi l’haltérophilie, la lutte, le lancé de poids deviennent autant attractifs que le football ou le tennis. Les disciplines olympiques et paralympiques se retrouvent sur un même plateau artistique sous un regard qui transcende le sport comme activité pour rejoindre son essence à la fois singulière et universelle.

Plutôt chien ou plutôt chat ?

Plutôt chien ou plutôt chat ? - Culture Expositions - Rétrospectives Animaux Photographie Sciences Exposition - Muséum d'Histoire Naturelle - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans les escaliers d’honneur du Muséum, venez découvrir la sélection des 8 clichés de chiens et des 8 clichés de chats du défi photo, lancé au printemps par le Muséum de Marseille.

Cette exposition des photographies des compagnons à quatre pattes de 16 amateurs passionnés, a été préparée autour de l’exposition temporaire « Chiens & Chats » présentée actuellement au Muséum.

L’ensemble des clichés reçus sont visibles sur l’écran à l’entrée de l’exposition temporaire « Chiens & Chats ».

Les Marseillaises et le sport

Aujourd’hui, l’inégalité dans la pratique sportive commence dès l’âge de 5 ans pour les filles, avec des sports genrés comme la danse et la gymnastique pour elles, et le football et le judo pour les garçons. En France, seulement 35% des femmes inscrites en club font de la compétition, contre 69% des hommes. Les femmes sont également sous-représentées médiatiquement et dans les postes de direction sportive.

L’exposition #Jesuislégitime de la Ville de Marseille met en lumière 7 portraits de femmes sportives pour célébrer leur parcours et leur donner une visibilité méritée. À l’approche des Jeux Olympiques, ce projet souligne l’importance de promouvoir le sport féminin et les épreuves paralympiques. Malgré une sensibilisation croissante aux inégalités, les femmes ne représentent que 9% des licenciés à la Fédération Française de Football en 2022.

Ces portraits sont une source d’inspiration pour toutes les femmes, les encourageant à devenir celles qu’elles souhaitent être.

Venez assister à un moment convivial le 31 juillet à 18h30 parc de Bagatelle ( inscrivez-vous ! ) en présence d’Alix Andréani, combattante de Muay ThaÏ , Catherine Mazzella, entrepreneuse dans le Sport , Albane Dubois, Voile, Clara Mattei, nageuse et Margot Bonnassieux, athlète et dirigeante sportive.

Ce projet photographique a été réalisé en collaboration avec la photographe marseillaise Isis Meccheraf.

Exposition collective « Instants Marseillais »

Exposition collective « Instants Marseillais » - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Boutique Essence Marseille - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

« Instants Marseillais » offre une exploration vibrante et variée de Marseille, capturant ses multiples facettes et moments éclatants. Les photographies présentées révèlent la diversité, la beauté et la richesse de cette ville emblématique. C’est une invitation à découvrir ou redécouvrir Marseille sous des angles multiples et variés.

Vernissage le 13 juin entre 18h et 21h.

Monique Deregibus

Monique Deregibus - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Photographie Exposition - Zoème - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans le nouveau travail de Monique Deregibus, on remarque d’abord certains motifs, ils sont nommables : raie, littoral rocheux, mer, trou, écorce, porte verrouillée, racines, copeaux de crayon, feu. Pour tenter de bien saisir, ces motifs, on les déploie – description, légende ou titre : qui regarde mi-morne mi-ironique raie à la racine de la queue pixélisée suspendue ou lévitant sur littoral rocheux qui plonge dans la mer ; surface blanche ridée et taches dentelées bleues et rouges à droite ; tas de copeaux de crayon sur fond blanchâtre.

Entretemps, la perception s’attarde sur des matériaux hétéroclites, le recours occasionnel au collage et au photomontage, des zones troubles. On remarque qu’il s’agit parfois de scans, que les surfaces ravalent souvent la profondeur, mais qu’au fond une table se dessine, une table de dissection qu’on ne voit pas. Dessus, tout aussi invisibles, un parapluie et une machine à coudre.

Grzegorz Przyborek – Toucher le silence

Grzegorz Przyborek – Toucher le silence - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Photographie Exposition - Centre Photographique  Marseille - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Grzegorz Przyborek est une des figures majeures de la photographie polonaise contemporaine.

Depuis plus de 40 ans, il construit une œuvre singulière, entièrement fabriquée dans son studio situé au 11e étage d’une barre d’immeuble d’un quartier de Lodz.

Son univers photographique est inspiré par des visions, des rêves parfois très concrets ou plus intimes mais qui ne sont pas dénués d’une dimension politique forte.

Le « rêve » se transforme d’abord en dessin d’une grande précision.
Ensuite, chaque partie de l’image nécessite une construction patiente de tous les éléments qui la constituent. Enfin commence la mise en place méticuleuse de son plateau de prise de vue.
Chaque image peut mettre des mois à se réaliser.

L’exposition, réalisée avec le soutien de l’Institut Polonais de Paris et du musée de Bydgoszcz, propose un parcours dans son œuvre photographique depuis la série Portraits réalisée à Arles en 1990 où il était étudiant invité, jusqu’aux dernières compositions produites entre 2020 et 2022. Elle présente également une quarantaine de dessins, des objets, des sculptures ainsi qu’un film réalisé en partie à Arles en 2019.

Cette exposition fait partie de la programmation satellite des Rencontres d’Arles dans le cadre du Grand Arles Express.

Vernissage : Vendredi 28 juin à partir de 19h00

Terrain.s de rêves

Terrain.s de rêves - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - La Citadelle de Marseille - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Tout commence par une ronde bienveillante, où chacun·e est invité·e à clamer son prénom et son pronom. Qui es-tu ? Qu’importe tes origines, l’essentiel est de ne pas se tromper sur qui tu veux être. C’est ce qui est rappelé à chaque début d’entraînement des équipes de foot de l’association multi-sports et LGBTQIA+ Marseille United Sport pour Tous·tes (MUST).

C’est à travers le regard du photographe Franck Pourcel, immergé dans le quotidien des équipes de foot féminin+ et masculin+, que l’on découvre l’histoire collective tissée par chacun des membres. Une histoire de foot d’abord, mais aussi une histoire de fêtes, de militantisme et de bienveillance.

Cette exposition grand format à ciel ouvert, en partenariat avec Photo Marseille, s’installe dans les jardins de la Citadelle , fraîchement ouverts au public, dans le cadre des Olympiades Culturelles. Un prolongement de la volonté du lieu d’ouvrir grand ses portes aux partenaires artistiques et culturels du territoire, se faisant plateforme de collaboration et d’accueil de projet culturels et artistiques de tous horizons et toutes disciplines, et de son engagement auprès de celles et ceux qui contribuent à construire une société plus inclusive.

Une commande de la Citadelle de Marseille dans le cadre de l’Olympiade Culturelle et les Jeux Olympiques Paris 2024.

Photos Franck Pourcel, en résidence de création à la Citadelle de Marseille d’octobre 2023 à avril 2024
Traitement d’image Camille Fallet
Producteur La Citadelle de Marseille
Partenaire Photo Marseille
En collaboration avec Association multisports LGBTQIA+ MUST, PICTO Méditerranée
Avec le soutien de la Région Sud Provence Alpes Côte d’Azur

Voguez, nagez, plongez, surfez sur la vague des Jeux

Voguez, nagez, plongez, surfez sur la vague des Jeux - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Les Archives Départementales - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

À l’occasion des Jeux, les Archives départementales proposent une exposition vivante et immersive sur les pratiques sportives et de loisirs en mer d’hier à aujourd’hui.

Voile, aviron, nage, plongée, planche à voile, surf, joutes, kite-surf… toutes ces pratiques mais aussi les lieux, les femmes et les hommes qui ont fait de la mer un terrain de jeu et de dépassement sont à découvrir.

Le parcours invite d’abord à naviguer sur la mer, puis à y plonger avant d’en retrouver les rivages. Photographies, arts graphiques, équipements sportifs, bateaux et embarcations, maquettes… Près de 300 pièces et dispositifs numériques présentés sur 450 m2 permettent de saisir toutes les dimensions des sports nautiques dans un parcours rythmé par des figures de champions.

A voir:

Un « hall olympique » accueillant les visiteurs avec des pièces mythiques dont la torche olympique des JO Paris 2024 (à partir du 14 mai) et un véritable voilier 470 avec les voiles des JO 2016 de Rio.
Des documents d’archives et photographies anciennes
Des vidéos et dispositifs interactifs
Des équipements sportifs rares, tels la planche de surf shapée par Nicolas Hervo, le kitesurf du record du monde de vitesse d’Alexandre Caizergues ou encore la planche à voile Windsurfer de 1978

Programme des visites guidées :

Des visites commentées gratuites sont proposées en compagnie d’un médiateur les :
– mardis à 18 h,
– jeudis à 12 h et
– samedis à 15 h.

Si vous souhaitez venir en famille, des visites ludiques et gratuites sont proposées les 1ers et 3èmes mercredis du mois, en compagnie d’un maître du jeu.

L’(œil) objectif

L’(œil) objectif - Culture Expositions - Rétrospectives Art moderne / contemporain Photographie Exposition - Musée Cantini - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Photographies des collections de la modernité des années 1930 aux années 2000.

Dans le cadre du renouvellement de son accrochage, le musée présente une exposition-dossier de ses fonds photographiques ainsi que du musée d’art contemporain [mac].

En février 1968, le musée Cantini présentait sa première exposition de photographies L’(OEIL OBJECTIF), réunissant Doisneau, Brihat, Clergue et Sudre. Dans ce même temps, Gautrand recevait le Grand prix de la Ville de Marseille consacré à la photographie. Aux côtés de la Bibliothèque nationale et du musée Réattu, l’institution endosse alors un rôle précurseur en créant une collection constituée en échos aux évènements régionaux tels les Rencontres d’Arles ou le festival d’Avignon.

À travers les fonds du musée Cantini, du [mac] et du Fonds communal d’art contemporain (Fcac), L’(ŒIL) OBJECTIF dresse un panorama renouvelé des collections ; des jeux d’optiques de la Nouvelle Vision à la pratique documentaire de Valérie Jouve, en passant par les mises en scène de Man Ray, l’exposition propose une approche élargie de la photographie et la diversité de regards qui en émanent.

Cette exposition fait partie de la programmation des Rencontres d’Arles dans le cadre du Grand Arles Express.

AUTOUR DE L’EXPOSITION
> Visite commentée
Durant toute la durée de l’exposition chaque samedi à 15h
[Tarifs adultes : entrée gratuite + 3 € (+1,50 € tarif réduit) / Tarifs enfants de 12 à 18 ans : entrée gratuite + 1,50€ / Tarifs enfants de moins de 12 ans : gratuit]

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées.

Paradis naturistes

Paradis naturistes - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Photographie Dessin Sciences humaines et sociales Exposition - Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes : son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques, culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.

Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ?

L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se pratique le naturisme aujourd’hui.

Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.

Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole, la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à Ascona.

Commissariat :
– Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps, apparences, sexualités.
– Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité.
– David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité.
– Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles.

Commissaires associés :
– Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles.
– Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles.

Scénographie : agence Trafik