Champions.nes

Champions.nes - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Dans différents équipements sportifs municipaux - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans le cadre de l’Olympiade Culturelle.

Le projet photographique, en partenariat avec le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques, est constitué autour de rencontres entre quatre athlètes de haut niveau et quatre photographes.

Quatre séries sont proposées pour cette exposition répartie dans différents équipements sportifs municipaux.

Les athlètes photographiés ont tous en commun d’être des champions et championnes de leur discipline et portent des engagements forts.

Arnaud Assoumani vu par Adrien Selbert Aya Cissoko vue par Françoise Huguier Marie-Amélie Le Fur vue par Magali Lambert Patricio Manuel vu par Maia Flore

Exposition visible dans les équipements sportifs, ci-dessous :

Du 15 avril au 7 juin :

Piscine vallier (13005)
Corderie (13007)
Mont rose (13008)
Rose fuveau (13013)
Stade luchessi (13014)
St joseph (13015)
Gymnase les caillols (13012)
Gymnase rosiere (13012)

Dekonstruction – Kuter

Dekonstruction – Kuter - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Espace Jouenne - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 6 juin à 18h.

L’univers de KUTER propose une expérience visuelle qui explore les limites de la photographie.

Son usage du découpage, du collage et du décalage bouleverse les perspectives, les volumes, les dimensions et les couleurs de ses images dans une recherche dynamique de déconstruction et reconstruction.

Ses grands formats invitent le spectateur à entrer dans une esthétique irréelle et saturée aux accents pop, sauvages et punks. En employant la couleur de façon tranchante, radicale et vibrante, il renforce sa quête d’un mouvement: l’image devient un dispositif pictural qui crée une tension.

Chaque œuvre est le fruit d’une recherche instinctive et manuelle : après un travail sur les couleurs et les contrastes, les tirages multiples deviennent la matière dont l’artiste s’empare pour composer son œuvre avec des découpes successives et superposées. Kuter modifie, déforme et ajuste progressivement son assemblage.

Par un procédé proche de celui utilisé en panographie, il produit du relief et de l’énergie. En laissant les fragments se chevaucher il repousse les frontières de son médium initial pour explorer de nouveaux territoires plastiques.

François Pomepui, photographe de mode, beauté et portraits, travaille pour différents magazines et supports commerciaux. Sous le nom de KUTER, il développe son travail artistique.

Singulier Pluriel – Michel Attard

Singulier Pluriel – Michel Attard - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Le Pôle Chezanne - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Michel Attard, photographe singulier, va investir les murs du Pôle Chezanne.

Avec Singulier Pluriel, il y propose un assortiment de ses plus précieuses collections.

Le voyage commence par des Road-movies poétiques, d’intrigantes Kakephotos et une étonnante colonie de Fourmis opiniâtres. Chacune de ses prises de vue donne lieu à un résultat unique, une nouvelle perspective.

En parallèle à sa carrière professionnelle, cette passion obsédante l’a accompagné, en une quête permanente de liberté artistique.

L’artiste nous invite à déambuler dans son univers poétique, au Pôle Chezanne.

Vernissage samedi 27 avril à partir de 17h en présence de l’artiste.

Far East – Géraldine Lay

Far East – Géraldine Lay - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Maupetit, côté Galerie - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le temps de quatre automnes, Géraldine Lay a photographié le Japon. Chaque année, elle y a retrouvé la même lumière blanche qui fait éclater les couleurs. Circulant en train d’un point à un autre, elle s’est éloignée peu à peu des grandes villes, partie à la rencontre d’un quotidien moins spectaculaire, plus rugueux peut-être, et en quête d’une nouvelle matière, au sens propre comme au figuré.

En partenariat avec la Galerie Le Réverbère (Lyon).

À l’œuvre #3

À l’œuvre #3 - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Photographie Exposition - Les Ateliers de l'Image - Centre Photographique de Marseille - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Pour la 3e année consécutive, le Centre Photographique Marseille présente une exposition originale de créations (ou de créations partagées) terminés ou toujours en cours. L’occasion de découvrir dix artistes impliqué⸱e⸱s dans des projets menés par le CPM. Leurs démarches s’inscrivent dans une recherche générale sur la pratique de la photographie aujourd’hui, où chaque artiste a développé un fil narratif ou une approche esthétique propre.

À l’œuvre #3 propose un parcours à travers des territoires et des problématiques, une manière de voir comment des artistes répondent à l’impératif d’une commande ou au contexte d’une résidence.

Dans le cadre de l’Olympiade Culturelle, le Centre Photographique Marseille a mis en place une commande publique spécifique, intitulée Bords de Mer, dont le restitution est présentée par les Archives Départementales des Bouches-du-Rhône sur un mur imposant, scénographié avec le soutien de François Marcziniak.

Performances et vernissage le vendredi 3 mai au Centre à partir de 18h.

La Commande Bords de Mer est soutenue par le Département des Bouches-du-Rhône. Elle réunit Françoise Beauguion, Simon Bouillère, Julia Gat, Pierre Girardin, Maude Grübel.

La résidence Pytheas (Emma Grobois, Amélie Blanc) est soutenue par la DRAC PACA/Ministère de la Culture (programme Capsule). Les projets Rouvrir le Monde (Jade Maily, Franck Pourcel, Juliette Guidoni, Emma Tholot…) dans le cadre de l’été culturel, sont soutenus par la DRAC PACA.

Artistes : Françoise Beauguion | Amélie Blanc I Simon Bouillère | Julia Gat | Pierre Girardin | Emma Grosbois | Maude Grübel | Juliette Guidoni | Jade Maily I Franck Pourcel | Emma Tholot

1984-1987, Portraits Pont-Aven – André Mérian

1984-1987, Portraits Pont-Aven –   André Mérian - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Zoème - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

En 1984, André Mérian s’installe comme artisan photographe à Pont-Aven, en Bretagne. Dans l’atelier de l’Aven, il réalise des photographies d’identité et des portraits de commande. Le protocole est toujours le même : le modèle est situé devant un fond neutre et photographié au polaroid ou au moyen format en lumière naturelle.

Peu à peu surgit l’idée de détourner ces images de commande pour en faire la base d’un travail de portrait en noir et blanc. Le pari du photographe est double : il s’agit en même temps de saisir la singularité des modèles, avec leur regard comme point focal de chaque image ; et de dresser, avec l’imaginaire qu’ils convoquent, une sorte de portrait en creux du Pont-Aven en 1980.

Montrés en 1986 à Pont-Aven, ils n’ont pas été montrés ailleurs depuis. En 2023, André Mérian décide de revisiter ses archives, des portraits inédits viennent alors s’ajouter à ce corpus. L’exposition à Zoème réunit 40 des 83 portraits dont est constitué « 1984-1987, Portraits Pont-Aven.

Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien du festival PAC.
Nocturne le 02 mai 2024 de 18h à 21h

L’(œil) objectif

L’(œil) objectif - Culture Expositions - Rétrospectives Art moderne / contemporain Photographie Exposition - Musée Cantini - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans le cadre du renouvellement de son accrochage, le musée présente une exposition-dossier de ses fonds photographiques ainsi que du musée d’art contemporain [mac].

En février 1968, le musée Cantini présentait sa première exposition de photographies L’(OEIL OBJECTIF), réunissant Doisneau, Brihat, Clergue et Sudre. Dans ce même temps, Gautrand recevait le Grand prix de la Ville de Marseille consacré à la photographie. Aux côtés de la Bibliothèque nationale et du musée Réattu, l’institution endosse alors un rôle précurseur en créant une collection constituée en échos aux évènements régionaux tels les Rencontres d’Arles ou le festival d’Avignon.

À travers les fonds du musée Cantini, du [mac] et du Fonds communal d’art contemporain (Fcac), L’(ŒIL) OBJECTIF dresse un panorama renouvelé des collections ; des jeux d’optiques de la Nouvelle Vision à la pratique documentaire de Valérie Jouve, en passant par les mises en scène de Man Ray, l’exposition propose une approche élargie de la photographie et la diversité de regards qui en émanent.

AUTOUR DE L’EXPOSITION
> Visite commentée
Durant toute la durée de l’exposition chaque samedi à 15h
[Tarifs adultes : entrée gratuite + 3 € (+1,50 € tarif réduit) / Tarifs enfants de 12 à 18 ans : entrée gratuite + 1,50€ / Tarifs enfants de moins de 12 ans : gratuit]

> Samedi 29 juin à 14h
Laure Mélone, photographe, fera découvrir son travail en écho aux oeuvres présentées dans l’exposition L’(OEIL) OBJECTIF
[Tarifs adultes accompagnateurs : entrée gratuite / Tarifs enfants de 5 à 18 ans : 4€, tarif réduit 1,50€ (Culture du Coeur, chômeurs, RSA, Handicap – Sur présentation d’un justificatif en cours de validité) / Tarifs enfants de moins de 5 ans : gratuit]

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées.

La Vie secrète des collections à la Belle de Mai

La Vie secrète des collections à la Belle de Mai - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Photographie Sciences humaines et sociales Exposition - Centre de Conservation et de Ressources du Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Constituées d’un million d’objets et documents, les collections du Mucem sont conservées et accessibles au sein du Centre de Conservation et de Ressources (CCR), conçu par l’agence d’architecture Corinne Vezzoni et associés. Le CCR a ouvert ses portes en 2013 à Marseille, dans le quartier de la Belle de Mai, lors des Journées européennes du patrimoine.

En septembre 2023, le CCR fête ses 10 ans d’ouverture : 10 années durant lesquelles les collections ont été relues, enrichies, regardées et documentées dans un environnement propice aux échanges et adapté à la conservation. Cœur fonctionnel du Mucem, le CCR est pensé comme un outil au service des collections et de l’ensemble de l’équipe scientifique, mais aussi de tous les publics. Il accueille en effet chercheurs, artistes, professionnels du patrimoine, étudiants, curieux et scolaires dans ses salles de consultation, de lecture, d’exposition, et dans les réserves. Les interactions avec tous ces publics participent grandement à l’enrichissement des connaissances sur les collections.

Célébrant les 10 ans du CCR, cette exposition présente 110 objets, photographies, archives et livres du Mucem. Elle s’attache à raconter la vie du CCR et des objets de la collection à travers le regard de ceux qui l’ont constituée, étudiée, conservée et valorisée : toute l’équipe scientifique du Mucem s’est réunie autour de ce projet pour partager son amour des objets et nous en retracer les histoires pleines d’humanité.

Les objets de la collection traduisent des histoires de vie, des faits sociaux et permettent de s’interroger sur nos pratiques contemporaines, sur ce que la société d’hier dit de celle d’aujourd’hui. Ils témoignent des relations de l’homme avec son milieu, parlent d’enracinement et de construction, et sont donc une ressource pour l’humanité qu’il convient de préserver et de faire connaître. C’est à cela que s’attachent les personnels du musée.
Commissariat :
Les équipes scientifiques et des collections du Mucem coordonnées par Marie-Charlotte Calafat, responsable du département des collections, assistée par Julie Durin, Pernette Léger et Charles Riondet
Chargée de production : Léonore Branche
Scénographie et graphisme : Marion Gournay, Noémie Saïdi

Discrimin’Action

Discrimin’Action - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Ligue de l'enseignement - Fédération des Bouches-du-Rhône, La Fabulerie, Luminy, Stade Delort - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans le cadre de la semaine de lutte contre les discriminations, la Ligue de l’enseignement – Fédération des Bouches du Rhône organise chaque année un concours de photographies comme moyen d’expression dénonçant toutes les formes de discriminations.

Plus qu’un concours photo, ce projet est une surtout l’occasion de parler des formes de discriminations qui existent et de proposer des manières de lutter contre celles-ci. Des groupes d’adultes, des particuliers, des écoles et des groupes d’enfants dans le cadre des activités périscolaires participent à ce concours ouvert à tous.

Pour la 9e année consécutive et dans le cadre de la semaine de lutte contre les discriminations, la Ligue de l’enseignement PACA organise un concours de photographies comme moyen d’expression dénonçant toutes les formes de discriminations. Ecoles, centres sociaux, particuliers…. vous pouvez tous participer !
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Cette année, la thématique est la suivante : « La lutte contre les discriminations par le sport »
L’ensemble de ces productions sera valorisé entre le mois d’avril et août 2024 lors d’un vernissage de l’exposition, accompagné de la remise des 3 prix du concours : 2 prix « public » (un individuel et un collectif) et 1 prix « réseaux sociaux » sur Facebook (Laligue13).

– Le 25 mars 2024 de 08h00 à 16h30 Luminy, Avenue de Luminy, 13009 Marseille, France

– Du 1 mai 2024 à 10h00 au 31 juillet 2024 à 10h00
Tous publics
Siège social de la Ligue de l’Enseignement des Bouches-du-Rhône, 192 Rue Horace Bertin, 13005 Marseille

– Le 14 mai 2024 de 9h00 à 18h00
Tous publics Stade Delort, Rue Raymond Teisseire, 13008 Marseille, France

– Du 3 juin 2024 à 10h00 au 14 juin 2024 à 17h00 La Fabulerie, 10 Boulevard Garibaldi, 13001 Marseille, France

Paradis naturistes

Paradis naturistes - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Photographie Dessin Sciences humaines et sociales Exposition - Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes : son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques, culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.

Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ?

L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se pratique le naturisme aujourd’hui.

Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.

Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole, la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à Ascona.

Commissariat :
– Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps, apparences, sexualités.
– Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité.
– David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité.
– Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles.

Commissaires associés :
– Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles.
– Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles.

Scénographie : agence Trafik