Né en 1991, Bettina Blanc Penther vit et travaille à Paris.
Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Iel intègre en 2017 le Fresnoy-Studio, National des Arts contemporain, pour y réaliser deux courts métrages : Too much Tenderness et I am a Beliver qui sont montrées dans des festivals ou lors d’expositions comme la Biennal d’Art Press, Xposed festival à Berlin, Queer Lisboa.
En 2019, parallèlement à sa pratique plastique Bettina rejoint comme élève-chercheur le groupe d’étude curatoriale“Displays” d’ EnsadLab-PSL pour travailler autour de la notion d’agentivité des oeuvres. C’est là que commence un travail chorégraphique sur le sentiment de la honte.
Parallèlement iel est interprète et collabore avec la chorégraphe Marcela Santander Corvàlan sur sa pièce Quietos et Boccas de Oro. Iel donnent de nombreux ateliers de danse pour tout type de publique au CND, à la Manufacture de la Rochelle ou aux Beaux Art de Dijon.
En 2021 Bettina crée avec la chorégraphe Pauline Brun la compagnie No SMALL MESS qui accueille des projets chorégraphiques. Son projet de solo Secretly Troubled bénéficie du soutien et des coproductions de NAVE à Santiago du Chili, ainsi que de la Fondation du Musée de la Chasse et de la Nature ou encore le Théâtre de Vanves ainsi que La Station à Nice.
Actuellement Bettina commence une collaboration avec la chorégraphe Anthonia Baehr.
Elle présentera une étape de travail de sa nouvelle Secretly Troubled, une pièce baignée dans une atmosphère cinématographique.
Une année pour découvrir, construire, maneur, tremble rythme, histoire et poésie, sensif à un objet – ou plus particulièrement à une marionnette – et créer l’illusion qu’elle respire, qu’elle vit. Oui c’est ça, vivant Les 11 actrices marionnettistes en formation, vous donont à voir, à entendre leur univers marionnettique. Plusieurs scènes religieuses, communes ou en solo, avec ou sans parole. Nous vous emmènerons dans un monde pour mon monde et émouvant.
La salle de théâtre se travestit en cabaret !
Installés à table avec de quoi vous sustenter et vous désaltérer, vous assisterez à un spectacle proposé par différents artistes maison et autres compagnies et artistes invités.
Apéro animations
Que vous soyez allergique à la Saint Valentin ou que vous souhaitiez la fêter d’une manière originale, cette soirée est pour vous !
Un buffet dînatoire animé par les créatures Made in Marie-Jeanne vous attendent dans tous les coins du théâtre.
Durée approximative : 2 heures
NB : le buffet est compris dans le prix de la place.
(tarif des boissons sur place)
« Moi, Monsieur Hand, est depuis toujours fascinée par l’étude des êtres humains.
Moi convier vous aujourd’hui à expérimentation d’activités se situant aux confins des domaines de la Psychologie et du Mentalisme.
Les desseins de ces expériences sont particulièrement définis : divertir, étonner et surprendre votre auguste personne, dans le but éclairé d’accroître votre connaissance sur le fonctionnement du seul organe qui s’est nommé lui-même : le cerveau !
Que vous puissiez être subjugué par les prodiges et les subtilités de ces expériences érudites, voilà l’ultime ambition de Monsieur Hand…»
Hercule s’est retiré du monde, mais il doit revenir. Nettoyer la Terre et les océans, sauver les réfugiés, éteindre les incendies,
souffler le froid, apaiser le chaud… Les travaux recommencent. Seulement, Hercule en a trop fait pour l’humanité. Aux femmes et
aux hommes désormais de prendre la relève.
Sur scène six chanteurs jouent, tandis que sur l’écran ils se retrouvent propulsés dans un champ d’olivier, un temple en ruine ou une forêt incendiée.
Symbole du dérèglement, cette bande d’images synchronisées se
dégrade au fur et à mesure de l’opéra, allant de la haute définition au tremblement du cinéma des origines. Face à un Dieu devenu
mythe, à la voix incarnée par un effrayant son de synthèse, les humains comprennent que le salut et la quête d’un héros sauveur
résident à l’intérieur de chacun, au plus profond de nous-mêmes.
Livret Bruno Messina
Composition Zad Moultaka
Direction Roland Hayrabedian
Vidéo Renaud Rubiano
Son Christophe Hauser
Voici l’histoire des divinités chtoniennes et ouraniennes, des éléments qui ont contribué à la formation du monde : la Terre et le Ciel – Gaïa et Ouranos -, les flots, mais aussi la nuit et ses divinités, l’abandon, les yeux de Méduse, l’éther, les étoiles. Puis l’histoire des premiers dieux, les Titans, peuple dont Prométhée, vieux frère de l’humanité – celui par qui le scandale arrive – est issu.
Les mythes grecs sont porteurs d’une immense poésie. Ils sont aussi des outils de compréhension du monde qui valent d’être mis sur la table des enfants : gageons qu’ils sauront s’en servir !
Ô, écoute la justice,
Ne laisse pas grandir la violence.
La justice dépasse la violence
à la fin de la course.
La Mélodie du bonheur est présentée selon un accord avec Concord Theatricals Ltd. Pour le compte de The Rodgers & Hammerstein Organization
Inspiré d’une histoire vraie, La Mélodie du bonheur (The Sound of Music) raconte l’histoire de la Famille Trapp écrite par Maria Augusta Trapp.
La scène se passe en Autriche, avant la Seconde Guerre mondiale. Une nouvelle gouvernante est engagée chez le Capitaine Trapp et va apprendre la musique à ses sept enfants. Ils se marieront et quitteront le pays en 1938. Rodgers et Hammerstein en ont tiré une comédie musicale qui s’est créée à Broadway en 1959 avant de se jouer dans le monde entier. Le film de Robert Wise (1965) a remporté six oscars dont celui de la meilleure actrice à Julie Andrews.
Curieusement, il a fallu attendre 2009 pour que Paris accueille la comédie musicale au Théâtre du Châtelet. Le succès a été immédiat. Il dure encore et n’est pas près de s’arrêter.
COMÉDIE MUSICALE
Création à Broadway, au Lunt-Fontanne Theatre, 19 novembre 1959
Musique de RICHARD RODGERS
Paroles d’Oscar HAMMERSTEIN II
Livre de HOWARD LINDSAY et RUSSEL CROUSE
Inspirée de « La Famille des chanteurs Trapp »
(The Trapp Family Singers) de Maria Augusta Trapp
Direction musicale Didier BENETTI
Mise en scène Carole CLIN
Maria Rainer Julie MORGANE
Mère Abbesse Lucie ROCHE
Elsa Perrine CABASSUD
Madame Schmitt Carole CLIN
von Trapp Sébastien LEMOINE
Max Fabrice TODARO
Zeller Philippe BÉRANGER
Amiral von Schreibe Jean-Luc ÉPITALON
Frantz Claude DESCHAMPS
Baron Eberfeld Jean GOLTIER
Enfant de la Maîtrise des Bouches-du-Rhône
Chœur phocéen
Orchestre de l’Opéra de Marseille
À partir de 4 ans
D’après Giambattista, les Frères Grimm, Perrault, Tchaïkovski et d’autres…
Sans cesse, il nous faut parvenir à montrer ce dont nous sommes capables. Le succès est une mise à l’épreuve dont nous devons ressortir vainqueurs : il faut réussir pour grandir.
Pourtant, dans La Belle au bois dormant, la jeune héroïne devient femme… en dormant. Dormir pour devenir. Sa prouesse à elle, ce sera d’attendre, et même pendant cent ans !
Si tout le monde connaît La Belle au bois dormant, personne ne s’en souvient vraiment, chacun se perd entre les différentes versions de l’histoire, confondant les détails, effaçant les enjeux… C’est dans ces interstices d’oubli que le spectacle creuse, avec ces restes qu’il compose. La mémoire nous manque et le spectacle est comme une déambulation entre les vestiges du conte. Que reste-t-il du récit lorsqu’on ne le raconte pas ? Qu’est-ce qui surgit du conte quand il se tait ?
Il ne suffit pas de dire que l’on y voit moins bien la nuit, il faut comprendre pourquoi l’obscurité invite à regarder (et à sentir) autrement.
Michaël Foessel
Il neige, et Blancheneige s’enfuit, elle court à travers la forêt. Cette forêt qui ne lui est pas hostile mais qui la prend, l’accepte et à laquelle elle se livre. Grâce à la complicité du chasseur qui lui laisse la vie sauve, puis à celle des sept nains qui l’accueillent dans leur maison, la jeune fille grandit joyeusement. Mais la jalousie de la reine, par-delà les montagnes, est la plus forte.
Un musicien joue avec délicatesse, il semble appeler Blancheneige, le silence se fait. Les comédiens sont au milieu du public, du duvet descend lentement pendant qu’ils content le début de l’histoire… Une atmosphère intime comme une veillée pour un conte intemporel dont on ne se lasse pas.
Elle se mit à courir sur les pierres pointues et sur les épines, et les bêtes féroces bondissaient à côté d’elle, mais sans lui faire aucun mal.
Elle courut aussi longtemps que ses pieds purent la porter et elle aperçut alors une petite cabane où elle entra pour se reposer.