Tu n’as qu’à oublier

Tu n’as qu’à oublier - Culture Spectacles - Cirques Théâtre - Café-théâtre Sujet de société Spectacle Théâtre - L'Astronef - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le temps de ce seul en scène exceptionnel, Katia Pollès nous embarque dans l’univers de Clara avec force, audace et un brin de folie.

Clara, prise en étau entre une directrice de pompes funèbres autoritaire, une notaire oppressante et une rabbine bienveillante, enterre sa mère. Elle se lance alors dans un voyage initiatique en Roumanie, à la recherche des racines oubliées de sa famille. Trouvera-t-elle le courage d’affronter son deuil et de lever le secret qui la lie à celle qui vient de disparaître ?

Un seul en scène poignant, tendre et plein d’humour sur la reconquête de la mémoire et de la parole.

Entre réalité, imaginaire et échappées oniriques, ne manquez pas cette performance captivante qui interroge nos histoires familiales et personnelles.

_____________
INFOS PRATIQUES

Théâtre de L’Astronef

Dans l’enceinte du centre hospitalier Édouard Toulouse



Nous ne prenons pas la CB. Pas de guichet automatique à proximité

Parking gratuit

Réservez vos places dès maintenant par e-mail : contact@astronef.org

Spectacle à partir de 14 ans

Eric Dupond-Moretti : j’ai dit oui!

Eric Dupond-Moretti : j’ai dit oui! - Culture Spectacles - Cirques Sujet de société Spectacle One man Show / One woman show - Le Cepac Silo - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Epris de justice et du contradictoire, Eric Dupond-Moretti décidait en 2019 de monter sur scène pour raconter ses 36 ans d’avocat et ténor du barreau.
Après 4 années à la tête du ministère de la Justice, il remonte sur scène pour partager son expérience et raconter comme personne ce que c’est qu’être ministre et les coulisses de cette fonction.

Texte de Eric Dupond-Moretti
Mise en scène de Philippe Lellouche

Elle et mon genre

Elle et mon genre - Culture Théâtre - Café-théâtre Historique Sujet de société Théâtre - Archives départementales - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Nouveau cycle Histoires de femmes

Nous vous proposons le premier rendez-vous de notre nouveau cycle « Histoire de femmes ».

Ce n’est pas parce que l’on naît homme que l’on ne peut pas parler des femmes, de sa femme, voire prendre sa place ! Lors de ce premier rendez-vous théâtral du nouveau cycle de programmation des Archives départementales intitulé « Histoires de femmes », le comédien Alberto García Sánchez échange son corps avec celui de son épouse. C’est donc elle, dans son corps à lui, qui monte sur scène pour nous parler de maternité, de violence patriarcale ou de la dictature de la mode et de la beauté. Préambule d’un spectacle à plusieurs histoires collectées par Alberto Garcia Sanchez lui-même, au gré de ses voyages et de ses rencontres, le sujet des droits des femmes se pose à nouveau de façon cruciale. Et ce n’est pas Madame qui dira le contraire.

Durée : 1h10 – Tout public
Gratuit dans la limite des places disponibles sur réservation à : reservations.archives@departement13.fr ou au 04 13 31 82 00

Des noms à coucher dehors

Des noms à coucher dehors - Culture Conférences - Débats Spectacles - Cirques Sujet de société Conférence / Débat / Rencontre Spectacle - Espace culturel Busserine - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le nom propre est une dimension essentielle de l’identité des individus depuis les débuts de l’humanité. Il a toujours été un enjeu pour valoriser les uns et dévaloriser les autres. A partir du XIXe siècle, l’émergence des Etats nations a alimenté un discours xénophobe dénonçant celles et ceux qui avaient des noms « à coucher dehors » (c’est-à-dire des étrangers que les nationaux n’étaient pas près à accueillir chez eux).

Cette conférence théâtralisée montre comment ce type de stigmatisation a évolué depuis le début du XIXe siècle jusqu’à nos jours ; les différentes formes qu’elle a prise selon les pays et selon les communautés minoritaires montrées du doigt. Comment et pourquoi l’appartenance nationale est-elle devenue un élément majeur des identités collectives tout en affectant fortement l’identité personnelle des individus ?

Comment le droit, l’enseignement, le sport et la politique ont-ils contribué à la construction du « nous Français » ? On s’appuie également sur l’histoire des patronymes et des « noms à coucher dehors » pour comprendre les ressorts intimes de la xénophobie, mais aussi de ses évolutions au cours du temps.
C’est une manière originale de s’interroger sur l’histoire de la construction des nations et de ses effets sur les individus.

Gratuit, réservation par téléphone.

Sabotage, NoFit State Circus

Sabotage, NoFit State Circus - Culture Spectacles - Cirques Divers arts Environnement / Développement durable Sujet de société Spectacle Cirque - Parc Balnéaire du Prado - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Sous un chapiteau, dans un clair-obscur, neuf artistes aux talents exceptionnels bousculent les codes traditionnels du cirque, accompagnés de trois musiciens.

Dans une série de tableaux aussi impressionnants les uns que les autres, ils entremêlent différentes figures aériennes : acrobaties, main à main, cerceau, mât chinois, slackline…

Des numéros de haute voltige à travers lesquels tous nous parlent d’un monde mis à rude épreuve, en proie à de multiples rapports de force : déplacement de population, crise climatique… Autant de sujets délicats abordés ici avec audace.

Hourvari, Compagnie Rasposo

Hourvari, Compagnie Rasposo - Culture Spectacles - Cirques Conte Sujet de société Spectacle Cirque - Parc Balnéaire du Prado - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Imaginé par la célèbre compagnie Rasposo, Hourvari observe à la loupe notre monde ballotté entre artifices et authenticités, illusion et vérité concrète.

Un Hourvari est une ruse qu’emploie le gibier lorsqu’il revient sur ses voies pour tromper les chiens.
Cela représente également une confusion, un désordre, une difficulté inattendue ou un charivari, un grand bruit, un vacarme, un tapage ou une agitation confuse, un chaos.
Un hourvari peut être aussi une violente bourrasque, un vent d’orage, une tempête.

Dans une mise en scène théâtrale, par le biais d’images fortes, cette pièce interroge la fugacité de la vie, le temps qui passe, nos vanités et nos ivresses, tout en célébrant leur beauté.

À tout rompre, Compagnie MPTA

À tout rompre, Compagnie MPTA - Culture Spectacles - Cirques Sujet de société Spectacle Cirque - Parc Balnéaire du Prado - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Ce spectacle s’amuse des multiples sens du mot « rupture ». Qu’elle incarne un accident ou un bouleversement, qu’elle soit dramatique ou libératrice, la rupture rythme nos vies.

Sur scène, quatre artistes nous relatent leurs propres histoires. Ils réunissent à merveille le cirque et le théâtre, l’art du corps et celui de la parole.

Chacun à sa façon revient sur des instants décisifs. Un pouls qui s’accélère, une gifle qui s’envole, un mot qui poignarde, puis le soulagement. Les interprètes vont, tour à tour, se porter, se supporter, s’insupporter. Avant de s’entraider.

Kahkos, Compagnie Ruyna – Joana Nicioli

Kahkos, Compagnie Ruyna – Joana Nicioli - Culture Spectacles - Cirques Sujet de société Spectacle Cirque - Parc Balnéaire du Prado - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Kahkos vient du mot Cacos, fragments en brésilien. Fragments de vie, moments de force et de faiblesse, la circassienne invite le public à s’interroger sur la place des femmes aujourd’hui : leurs désirs et barrières, leurs rapports au corps que ce soit dans l’intimité ou en société.

Au rythme d’une création sonore éclectique, faite de bruitage et de parties instrumentales, de chants et de chuchotements, Joana Nicioli investit le chapiteau de manière autant intimiste que spectaculaire. Elle y incarne le personnage d’une femme aux nombreuses facettes. Un être aussi puissant que fragile. Un être multiple, reflet de l’espèce humaine.

La compagnie Ruyna a pour volonté première de travailler sur des sujets sociétaux. Son nom vient du constat d’un monde de plus en plus rude, où la nature peine à survivre. La ruine, notion ambivalente, symbolise tout à la fois une dégradation ainsi qu’une renaissance, une nouvelle façon de bâtir.

Voya(je)s

Voya(je)s - Culture Théâtre - Café-théâtre Sujet de société Théâtre - L'R de la mer - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Regarder le monde avec des yeux qui cherchent frénétiquement un nouveau destin sur un chemin semé de doutes et de peurs. Etre étranger, celui qu’on ne voit pas, celui qu’on n’entend pas, celui dont on se méfie.

Mais partir pour ne pas mourir, pour vivre, pour aimer, c’est comment ?

Après trois années de discussions et témoignages sur l’éternel exil, il s’agit de porter les voix de ces êtres de lumière aux parcours de vies chaotiques à qui veut bien l’entendre.

Compagnie Théâtre de la mer | Mise en scène : Louisa Amouche | Jeu : Antoine Mahaut, Bruno Bonomo, Marie Salem | Direction d’acteurs : Fabrizio Cenci | Montage des textes : Jérôme Beaufils et Louisa Amouche | Création lumière : Jean-Louis Floro | Création musicale : Eric Petit | Régie son : Fabrizio Cenci | Décor et costumes : Nicole Mandil-Autard

Avec la voix des participant.e.s

Esquif à fleur d’eau

Esquif à fleur d’eau - Culture Spectacles - Cirques Conte Sujet de société Spectacle - Le Zef - Scène Nationale de Marseille - À cour - Site du Merlan - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

« LA MER – Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je suis très très très en colère contre certains humains adultes. Ils ne pensent jamais à me demander mon avis, ils me font passer pour un monstre avaleur de vies alors que ce n’est pas moi qui tue, ce sont les murs, les frontières que certains adultes de votre espèce ont inventés ».

Comment parler avec délicatesse aux enfants de la réalité souvent brutale du monde qui les entoure ?
Telle est la mission que s’est donnée l’auteure et metteure en scène Anaïs Allais Benbouali. Dans Esquif, sa première pièce jeune public, la Mer s’adresse directement aux enfants et dialogue avec une violoncelliste incarnant le navire de sauvetage de SOS Méditerranée, portant la parole des rescapé·e·s, ainsi que de celles et ceux qui n’ont pas survécu à la traversée. Un spectacle qui rend le sujet accessible sans pour autant en enlever sa complexité, qui offre des espaces de discussion et de réflexion à tous les âges.