Rencontre avec l »artiste en résidence Ugo Schiavi

Rencontre avec l »artiste en résidence Ugo Schiavi - Culture Expositions - Rétrospectives Exposition - Atelier Marcel Carbonel - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Pour le PAC 2024, nous proposerons la restitution de la résidence de 3 mois de l’artiste Ugo Schiavi aux ateliers Carbonel.
Voyons voir retrouve Ugo, quelques années après son projet Plastiglomera à Saint-Chamas et les premières recherches de l’artiste autour des déchets plastiques.

Cette fois, nous l’amènerons à expérimenter un nouveaux matériaux : l’argile et à se questionner sur la statuaire miniature, puisque que les Ateliers Carbonel perpétuent l’art de Marcel Carbonel, illustre santonnier installé à Marseille dans le quartier de Saint Victor.

Le grand domaine

Le grand domaine - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Dessin Exposition - Musée d'Histoire de Marseille - (MHM) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Lili Sohn, autrice de BD, raconte une histoire de Marseille à travers le récit d’un immeuble, le sien. Au Grand Domaine , sur le boulevard des Dames, on retrouve Marseille à tous les étages.

Dans le sillage de la sortie d’un roman graphique (éditions Delcourt) et d’un podcast (13 PRODS), le Musée d’Histoire de Marseille s’associe, à travers cette exposition, à une histoire qui s’écrit par et pour ses habitants. Cet immeuble, véritable mémoire vivante de Marseille, nous guide dans son héritage riche et contrasté à travers des témoignages. De l’Arménie à l’Algérie, des artisans du cuir à la movida culturelle, de 0 à 86 ans, des riches aux pauvres.

Des planches choisies du roman graphique, des archives personnelles des voisins, des extraits sonores, des dessins et croquis de Lili Sohn, nous immergent dans un patrimoine marseillais en partage.

[Salle d’embarquement]

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.

► Le Musée d’Histoire de Marseille dispose d’un centre de documentation.
Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91 55 36 20.

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr

Archéocapsule : Homo athleticus – Archéologie et sport

Archéocapsule : Homo athleticus – Archéologie et sport - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Sport divers Archéologie Exposition - Musée d'Histoire de Marseille - (MHM) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Depuis quand les humains font-ils du sport ? Et d’ailleurs, qu’entend-on par là ? Si l’on considère les disciplines sportives encadrées par un règlement, nécessitant des entraînements, et donnant lieu à des compétitions pacifiques, c’est plutôt récent : trois petits millénaires seulement.

On pense bien sûr aux premiers Jeux organisés à Olympie en 776 av. J.-C., qui se perpétuent de nos jours. Mais si l’on élargit la notion de sport à l’activité physique, elle est beaucoup plus ancienne. Dès la Préhistoire, les humains ont eu mille raisons d’activer leurs corps : pour survivre, chasser, se battre, entretenir leur forme, se donner en spectacle, s’amuser… Les vestiges archéologiques en témoignent. Se croisent alors, autour de l’activité physique, des enjeux sociaux et culturels mais aussi politiques, économiques… Le sport devient, grâce à l’archéologie, une clé de lecture des sociétés sur le temps long.

Exposition conçue par l’INRAP.
[Salle d’embarquement]

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À la recherche du Petit Prince

À la recherche du Petit Prince - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Exposition - Musée d'Histoire de Marseille - (MHM) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Une exposition conçue par l’artiste-photographe Léon Dubois dans le cadre d’un projet itinérant sur les traces d’Antoine de Saint-Exupéry dans le monde.

Enquêtant depuis 2021 sur les lieux de passage de l’écrivain et aviateur, l’artiste s’intéresse à la place de l’auteur et à son œuvre dans les mémoires contemporaines.

Entre réel et fiction, expérience vécue et littérature, les photographies, archives et témoignages collectés racontent le mystère de la disparition de l’auteur à Marseille il y a 80 ans, le 31 juillet 1944.

Musée d’Histoire de Marseille, séquence 12.

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Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91 55 36 20.

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Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la mémoire 1968 -1976

Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la mémoire 1968 -1976 - Culture Expositions - Rétrospectives Sciences humaines et sociales Exposition - Musée d'Histoire de Marseille - (MHM) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans la continuité du programme d’activités culturelles et mémorielles initié en 2023 à l’occasion de la commémoration des 80 ans des rafles et de la destruction des quartiers nord du Vieux-Port en janvier et février 1943, le Mémorial de la Shoah et la Ville de Marseille se sont rapprochés en vue de la présentation de l’exposition “ Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la Mémoire 1968-1978 ” au Musée d’Histoire de Marseille du 18 avril au 1er septembre 2024.

56 ans après la gifle administrée par Beate Klarsfeld en 1968 au chancelier ouest allemand, Kurt Georg Kiesinger (ancien responsable de la propagande radiophonique du Reich vers l’étranger), et 46 ans après la publication, en 1978, par Serge Klarsfeld du Mémorial de la déportation des Juifs de France, l’exposition a souhaité retracer le parcours de Beate et Serge Klarsfeld en faveur des victimes de la Shoah et de la connaissance historique, contre l’impunité d’anciens responsables de la Solution
finale et contre l’antisémitisme.

Au-delà du combat d’un couple, d’une vie, la décennie 1968-1978 marque un tournant important dans l’évolution de la mémoire de la Shoah en Europe et dans le monde. L’action spectaculaire de
Beate et Serge Klarsfeld, menée sur plusieurs continents, exerce un rôle majeur dans ce mouvement vers la reconnaissance.

Alors que la guerre froide n’est pas terminée et que le contexte mondial est celui de profonds bouleversements culturels et politiques, le couple Klarsfeld s’engage et bouleverse le regard sur le nazisme et le génocide des Juifs en Allemagne et en France.
Après la publication de leurs mémoires en 2015, l’histoire et les motivations des engagements de Beate et Serge Klarsfeld sont restituées par l’exposition grâce à de nombreux documents et objets inédits, rejoignant celles de toute une génération dont ils deviennent les symboles. Leur influence se poursuit jusqu’à aujourd’hui.

Commissaire scientifique :
Olivier Lalieu, historien, responsable de l’aménagement des
lieux de mémoire et des projets externes au Mémorial de la Shoah

Recherche et documentation :
Olivier Lalieu et le centre de documentation du Mémorial de la Shoah.

Coordination itinérance :
Caroline François, chargée des expositions itinérantes, Mémorial de la Shoah.

LE PARCOURS DE L’EXPOSITION

L’exposition “Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la mémoire” se construit sur un fil chronologique pour restituer pas à pas les ressorts, les péripéties, les enjeux d’une action où se mêlent à dessein vie publique et vie privée. Elle s’ouvre sur un portrait croisé de Beate et Serge Klarsfeld, leur milieu, leur parcours, leur rencontre. Elle s’achève sur un bilan de leur action jusqu’à nos jours.
Des coupures de presse, des archives, des objets personnels, des photographies illustrent le propos. Un film d’entretiens inédits avec Beate et Serge Klarsfeld ainsi que des militants de la première heure est installé au cœur de l’exposition.

L’exposition se découpe en 7 sections :

– Le temps de la rencontre
Serge, une enfance entre la Roumanie et la France
Beate, à Berlin sous le nazisme et ses décombres
Un coup de foudre

– Les Premiers combats
L’amorce d’une prise de conscience
L’élection du chancelier Kiesinger, l’acte fondateur

– La Gifle
– À la recherche de la vérité et de la justice
– Le procès de Cologne 1979-1980
– Une vie de lutte
– Le combat se poursuit

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► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr

Panoramas. Revoir les collections des Musées de Marseille

Panoramas. Revoir les collections des Musées de Marseille - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Design Mode Peinture Sculpture Archéologie Exposition - Centre de la Vieille Charité - (CVC) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

L’exposition célébrera un ensemble d’environ 180 à 200 objets et œuvres d’art parmi les plus importants des collections préservées par le réseau des 14 musées de la Ville de Marseille.

Croisant époques, catégories et géographies, ce projet se présentera comme un portrait poétique des fonds patrimoniaux marseillais, en différents chapitres qui déclinent leurs nombreuses identités et les regards que les équipes scientifiques des Musées de Marseille leur portent.

Peinture, sculpture, arts décoratifs, mode, design, création contemporaine et archéologie seront ainsi convoqués, au prisme des enjeux de territoire, des trajectoires des objets, des individus et des cultures, des relations post-coloniales et du genre, au gré de l’histoire de l’art.

Portant l’ambition de favoriser la redécouverte et l’appropriation des collections par les publics, cette exposition sera accompagnée de projets participatifs à destination du plus grand nombre.

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées.

Peindre Marseille, 1853-1878. Une autre modernité

Peindre Marseille, 1853-1878. Une autre modernité - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Exposition - Musée des Beaux-Arts - (MBA) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

A l’occasion des 150 ans de l’impressionnisme, le Musée des Beaux-Arts reçoit du Musée d’Orsay le prêt exceptionnel du Golfe de Marseille vu de l’Estaque, de Paul Cézanne et La Lavandière, de Paul Guigou.

Le Musée présentera autour de ces deux chefs-d’œuvre les paysages Provençaux des peintres de l’École de Marseille qui dessinent leur vision d’une autre modernité.

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.

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L’(œil) objectif

L’(œil) objectif - Culture Expositions - Rétrospectives Art moderne / contemporain Photographie Exposition - Musée Cantini - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans le cadre du renouvellement de son accrochage, le musée présente une exposition-dossier de ses fonds photographiques ainsi que du musée d’art contemporain [mac].

En février 1968, le musée Cantini présentait sa première exposition de photographies L’(OEIL OBJECTIF), réunissant Doisneau, Brihat, Clergue et Sudre. Dans ce même temps, Gautrand recevait le Grand prix de la Ville de Marseille consacré à la photographie. Aux côtés de la Bibliothèque nationale et du musée Réattu, l’institution endosse alors un rôle précurseur en créant une collection constituée en échos aux évènements régionaux tels les Rencontres d’Arles ou le festival d’Avignon.

À travers les fonds du musée Cantini, du [mac] et du Fonds communal d’art contemporain (Fcac), L’(ŒIL) OBJECTIF dresse un panorama renouvelé des collections ; des jeux d’optiques de la Nouvelle Vision à la pratique documentaire de Valérie Jouve, en passant par les mises en scène de Man Ray, l’exposition propose une approche élargie de la photographie et la diversité de regards qui en émanent.

AUTOUR DE L’EXPOSITION
> Visite commentée
Durant toute la durée de l’exposition chaque samedi à 15h
[Tarifs adultes : entrée gratuite + 3 € (+1,50 € tarif réduit) / Tarifs enfants de 12 à 18 ans : entrée gratuite + 1,50€ / Tarifs enfants de moins de 12 ans : gratuit]

> Samedi 29 juin à 14h
Laure Mélone, photographe, fera découvrir son travail en écho aux oeuvres présentées dans l’exposition L’(OEIL) OBJECTIF
[Tarifs adultes accompagnateurs : entrée gratuite / Tarifs enfants de 5 à 18 ans : 4€, tarif réduit 1,50€ (Culture du Coeur, chômeurs, RSA, Handicap – Sur présentation d’un justificatif en cours de validité) / Tarifs enfants de moins de 5 ans : gratuit]

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De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La Collection Lambert au Mucem

De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La Collection Lambert au Mucem - Culture Expositions - Rétrospectives Artisanat Sciences humaines et sociales Arts plastiques / graphiques Historique Exposition - Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La Collection Lambert et le Mucem s’unissent pour une exposition inédite.

La culture méditerranéenne a profondément façonné le destin du grand marchand d’art Yvon Lambert, dont le nom et l’histoire résonnent avec les richesses culturelles de la Provence.

Né en 1936 à Vence, Yvon Lambert a grandi au cœur d’une région imprégnée par la présence de grands artistes tels qu’Henri Matisse à Vence ou Paul Cézanne à Aix-en-Provence.

Dès les premiers temps de la galerie d’Yvon Lambert, le marchand d’art s’est fait également collectionneur et commence à constituer des ensembles importants d’œuvres d’artistes de son temps, pour la plupart encore inconnus. Ainsi commence presque 60 années d’une histoire intime de l’art. Son regard singulier est marqué par la poésie, l’amour, la liberté de pensée et la défense de l’art de son temps. Chaque pièce traduit l’amitié indéniable entre le collectionneur et les artistes. La donation exceptionnelle faite en 2012 à l’État français par Yvon Lambert a permis de consolider la présence d’un grand musée public d’art contemporain à Avignon : La Collection Lambert.

Amoureux des objets insolites, témoignages des croyances populaires de tous les âges, en particulier issus de la culture provençale, Yvon Lambert ressent une proximité naturelle forte avec les collections du Mucem dont la constitution lente et fabuleuse lui rappelle ses propres recherches vagabondes de choses étonnantes allant d’ex-voto fantasmagoriques, à des scènes de genre de petits maîtres provençaux, de la bibliothèque félibrige de son père aux ustensiles et pièges à grives que ce dernier fabriquait.

Les objets d’art populaire du Mucem sont le fruit de collectes d’enquêteurs sur le terrain : ethnologues, observateurs des mutations de la société et défenseurs des savoirs du peuple. Ces collections sont des témoins précieux, des documents sur nos modes de vie et sur l’évolution des mœurs, mais ils présentent aussi une valeur esthétique qui se font particulièrement jour dans des analogies étonnantes avec des œuvres d’art.

L’exposition commence par l’évocation du parcours d’Yvon Lambert, lié aux cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur des thématiques autour desquelles dialogueront ses collections et celles du Mucem : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence.

Ainsi, la rencontre entre la Collection Lambert et celle du Mucem présentée lors de l’exposition « De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La Collection Lambert au Mucem » est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.

Des invitations pour des interventions artistiques et littéraires :

Ryoko Sekiguchi (née à Tokyo en 1970) a été invitée à écrire pour l’exposition vingt-et-un cartels imaginaires dans lesquels elle déploie une écriture sensible et poétique pour aborder les objets et leurs odeurs, notamment celle du musée, de la lumière, des couleurs des œuvres. Elle propose une véritable ode à la contemplation et aux sens.

L’artiste peintre et designer Nathalie Du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) a conçu une cabine peinte afin d’abriter les projets des chapelles de Vence réalisés en 1994 par Jean Charles Blais, Sol Lewitt, Jean-Michel Othoniel, Niele Toroni, Robert Barry à l’invitation d’Yvon Lambert. A l’extérieur, couleurs et objets de la collection du Mucem liés aux croyances et coutumes en Provence se répondent : amulettes, santibelli, croix de la Passion, boîtes-oratoires, ex-voto, palmes des rameaux…

Œuvres exposées :

Le Mucem bénéficie de prêts exceptionnels d’Yvon et Ève Lambert, mais aussi du Centre national des arts plastiques (CNAP) : 80 œuvres ont été soigneusement sélectionnées parmi les 600 œuvres données par le marchand et collectionneur Yvon Lambert à l’Etat en 2012. Ces pièces couvrent une large gamme de médiums artistiques, tel que la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo ou la photographie.

Elles côtoient 150 œuvres de la collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Ces objets du quotidien se mêlent subtilement avec les créations contemporaines.

Artistes présentés :

Parmi les artistes dont les œuvres de la collection Lambert sont présentées, on compte notamment Jean-Michel Basquiat, Andres Serrano, Christian Marclay, Sol Lewitt, Daniel Buren, Mircea Cantor, Marcel Broodthaers, Cy Twombly, Kiki Smith, Nan Goldin, Christian Boltanski, Louise Lawler…

Commissariat :
Marie-Charlotte Calafat, conservatrice en chef du patrimoine, Mucem
Stéphane Ibars, directeur artistique, Collection Lambert

Scénographie : Agence Nathalie Crinière
Graphisme : Tania Hagemeister

L’exposition est conçue et organisée par la Collection Lambert et le Mucem, Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.

Voyage insolite – Serge Roche

Voyage insolite – Serge Roche - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Exposition - Galerie Bertrand Grossi - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La galerie Bertrand Grossi accueille l’exposition de Serge Roche
« Voyage insolite ».

Le peintre Serge Roche a accepté de se consacrer pendant plusieurs mois à la création de cette nouvelle exposition. Cela a été un honneur de réceptionner les œuvres du maître et un véritable plaisir de les installer aux cimaises de la galerie.

L’artiste vit, à plus de 70 ans, comme un protégé du monde dans un univers qu’il a lui-même bâti à la force de convictions artistiques aussi honnêtes que profondes et attaché à un amour du risque propre aux grands hommes.

Serge Roche a construit son art autour d’un langage artistique sobre et universel où finalement un seul résultat compte, l’émotion. L’impact visuel des images doit être immédiat. A partir d’un vocabulaire stylisé dont les courbes harmonieuses célèbrent la beauté des femmes et les merveilles de la nature, l’artiste invente un langage esthétique unique et surprenant.

La galerie vous invite le temps de cette exposition à voyager dans un univers onirique, nous amenant tableau après tableau au plus loin d’un voyage que Serge Roche aime à appeler insolite.