Bianco Ordinario – Hélène Bellenger

Bianco Ordinario – Hélène Bellenger - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Le 33 - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Initié à l’été 2021, le projet Bianco Ordinario d’Hélène Bellenger prend racine dans les carrières de marbre de Carrare, en Italie. Sculptées depuis des siècles pour la qualité de leur marbre blanc, ces carrières sont aujourd’hui surexploitées pour l’utilisation de la poudre de marbre, un carbonate de calcium à l’état pur. Utilisée notamment dans la composition du dentifrice, du maquillage, du papier ou des produits d’entretien, la poudre de marbre vient ainsi se nicher dans l’histoire du blanchiment et de la blanchité de nos sociétés occidentales contemporaines.

Hélène Bellenger a initié une collection de produits de consommation à imprimer directement sur le verso en carton. À la fois fragiles, précieuses, uniques mais aussi éphémères et jetables, ces petites images, dont la forme varie selon les produits, proposent ainsi une typologie des formes industrielles, tout en présentant une sélection d’images de ces paysages modelés par l’exploitation intensive du marbre de Carrare.

Vernissage le 17 avril 2024 de 18h30 à 20h30

Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC.

Le Printemps des Augustines

Le Printemps des Augustines - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Sculpture Exposition - Galerie des Augustines - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Du 23 mars au 25 mai la galerie des Augustines fait sa rentrée de printemps et accueille trois artistes réunionnais aux affinités marseillaises…

Une céramiste, Alice Aucuit, qui commença sa carrière dans le sud de la France, et deux peintres contemporains. Le premier, Jimmy Cadet est en lien étroit avec la scène marseillaise, le second, Cristof Dènmont, est diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts d’Aix-Marseille.

Tous trois actuellement à la Belle de mai, au sein de l’exposition Aster aterla depuis début février, nous proposent d’approfondir cette expérience en découvrant leurs toutes dernières œuvres…

Vernissage samedi 23 mars à partir de 18h.

Le 59 au Hangar

Le 59 au Hangar - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Exposition - Hangar Belle de Mai - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Lieu mythique de l’art underground parisien, le collectif 59Rivoli vient squatter le Hangar de la Belle de Mai à Marseille, du samedi 29 avril au 7 mai.

Triés sur le volet par la directrice du Hangar Justine Bergerot, c’est un mix d’artistes historiques (Gaspard Delanoë, le Suisse-Marocain, DAN, Luigi La Ferla, Isa Marty, Maitena Barret) et de nouveaux résidents (Leorice Cecite, Jeanne Gourlaouen, Arthur Capmas, Aikomoto, Magenta) qui se déploieront pendant huit jours dans l’espace sublime du Hangar de la Belle de Mai – un lieu à découvrir absolument si ce n’est pas encore fait.
Une expo Pop, malicieuse, irrévérencieuse, sucrée et détonnante avec bien entendu vernissage, DJ’ing, défilé de mode par la créatrice japonaise Aikomoto et autres performances.
Et avec une guest star à la clé, la géniale illustratrice marseillaise Anna Uru, à savourer impérativement.

19h30 : défilé d’Aïkomoto
21h : performance Marion Binois
18h à 23h30 : dj set justelona
59 Rivoli

Performance le 04 mai 2023 de 14h à 23h
Justine Bergerot

Coucou ! – Dan Kim

Coucou ! – Dan Kim - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Sculpture Exposition - Nendo Galerie - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Exposition des sculptures de Dan Kim, réalisée avec le concours de la Villa Arson, Nice.

Vernissage le 17 avril 2024 de 18h à 20h
Nocturne le 02 mai 2024 de 17h à 21h

Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC.

Ce truc marron au mur

Ce truc marron au mur - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Peinture Exposition - Espace d'exposition GT - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

De Maubeuge à Casablanca, dans une galerie d’art, un restaurant ou encore quelque grotte à Eyzies-de-Tayac, l’évidence n’est plus à démontrer : l’art est partout. Qu’il soit médiocre, d’une excellence indésirable ou lassant d’indifférence, le constat demeure le même. Fatalité pour les uns, point de fuite pour les autres, ne devrait-on pas se réjouir et prendre acte de cette autre évidence : il n’y a pas de mauvais contexte en art, seulement des contextes.
Une proposition de Guillaume Clermont et Jakub Vrba.

Vivre en lichen

Vivre en lichen - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - La Traverse Marseille - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

L’exposition Vivre en lichen a pour volonté d’explorer le phénomène de symbiose en tant que manifeste artistique et politique, à travers des oeuvres d’artistes qui collaborent avec le vivant, et entre elles.

Alors que nous participons à une crise écologique irréversible, il est urgent de trouver d’autres manières de cohabiter et de travailler avec le non-humain. L’idéologie capitaliste qui, dès l’époque de
Darwin, a fait de l’adaptation individuelle à un milieu concurrentiel sa caution scientifique, est difficile à déconstruire.

La symbiose apporte une réponse : cette coexistence durable entre deux organismes d’espèces différentes remplace la compétition comme facteur évolutif, et met à mal la notion même
d’individu biologique et sociologique. Tout comme le lichen, être symbiotique algue-champignon, l’ensemble du vivant, dont nous faisons partie, est constitué d’interactions bénéfiques. Apprenons
de cet organisme aussi méconnu qu’omniprésent une éthique de la coopération, de la pluralité, de la résilience.

Dans l’exposition, les artistes et leurs oeuvres échangent, collaborent, se contaminent et s’enrichissent mutuellement. Les installations évolutives peuplées de bactéries, mycètes et autres micro-organismes ou espèces dites “nuisibles” questionnent la possibilité d’une co-création égalitaire entre partenaires, loin de la logique compétitive à laquelle le monde de l’art n’échappe pas.

En tissant un tel réseau, l’exposition se transforme en organisme vivant qui porte le mutualisme et le commensalisme des
interactions biologiques à une méthode de travail artistique, et enfin à un modèle sociétal.

Artistes : Yolenn Farges, Charlotte Gautier van Tour, Adriana Knouf, Niccolò Moscatelli, Laure Vigna
Commissariat : Colette Angeli

Programmation :

Vendredi 15 mars – 18h : Vernissage à La Traverse, en présence des artistes et de la commissaire d’exposition

Mercredi 27 mars (date à confirmer) : Discussion croisée autour des enjeux de la symbiose avec des chercheur·ses de l’IMBE (Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale),la commissaire et des artistes

Samedi 20 avril : Atelier Symbiose lichen-humain par l’artiste Adriana Knouf, sur réservation, places limitées (en mixité choisie personnes minorisées)

Mercredi 24 avril (date à confirmer) : Atelier arts & sciences pour jeune public des Maisons Pour Tous, en collaboration avec des scientifiques de l’IMBE

Dimanche 5 mai : Journée et soirée de finissage dans le cadre du PAC (Printemps de l’Art Contemporain) – buffet, visite guidée, apéritif

… et d’autres événements à venir

Relais de la Flamme – Etape #1 au Château d’If 

Relais de la Flamme – Etape #1 au Château d’If  - Culture Expositions - Rétrospectives Spectacles - Cirques Danse Exposition Spectacle - Château d'If - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La Horde proposera un spectacle-événement de danse sur la musique Room with a view de Rone et interprété par 7 danseurs permanents du Ballet national de Marseille, 10 danseurs de l’École Nationale de Danse de Marseille et 20 danseurs de la Compagnie Grenade.

En parallèle, Miguel Chevalier proposera une installation plastique sur le phare de l’île d’If ainsi qu’une déambulation artistique dans les quatre espaces intérieurs du monument. Cette installation sera présentée tout au long de l’été et invitera le public à s’interroger sur les profondeurs de l’océan grâce à des œuvres sculptées luminescentes, des vidéos et de la réalité virtuelle interactive.

Discrimin’Action

Discrimin’Action - Culture Expositions - Rétrospectives Photographie Exposition - Ligue de l'enseignement - Fédération des Bouches-du-Rhône, La Fabulerie, Luminy, Stade Delort - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Dans le cadre de la semaine de lutte contre les discriminations, la Ligue de l’enseignement – Fédération des Bouches du Rhône organise chaque année un concours de photographies comme moyen d’expression dénonçant toutes les formes de discriminations.

Plus qu’un concours photo, ce projet est une surtout l’occasion de parler des formes de discriminations qui existent et de proposer des manières de lutter contre celles-ci. Des groupes d’adultes, des particuliers, des écoles et des groupes d’enfants dans le cadre des activités périscolaires participent à ce concours ouvert à tous.

Pour la 9e année consécutive et dans le cadre de la semaine de lutte contre les discriminations, la Ligue de l’enseignement PACA organise un concours de photographies comme moyen d’expression dénonçant toutes les formes de discriminations. Ecoles, centres sociaux, particuliers…. vous pouvez tous participer !
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Cette année, la thématique est la suivante : « La lutte contre les discriminations par le sport »
L’ensemble de ces productions sera valorisé entre le mois d’avril et août 2024 lors d’un vernissage de l’exposition, accompagné de la remise des 3 prix du concours : 2 prix « public » (un individuel et un collectif) et 1 prix « réseaux sociaux » sur Facebook (Laligue13).

– Le 25 mars 2024 de 08h00 à 16h30 Luminy, Avenue de Luminy, 13009 Marseille, France

– Du 1 mai 2024 à 10h00 au 31 juillet 2024 à 10h00
Tous publics
Siège social de la Ligue de l’Enseignement des Bouches-du-Rhône, 192 Rue Horace Bertin, 13005 Marseille

– Le 14 mai 2024 de 9h00 à 18h00
Tous publics Stade Delort, Rue Raymond Teisseire, 13008 Marseille, France

– Du 3 juin 2024 à 10h00 au 14 juin 2024 à 17h00 La Fabulerie, 10 Boulevard Garibaldi, 13001 Marseille, France

Voyage vibratoire et sacré

Voyage vibratoire et sacré - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Exposition - Abbaye Saint-Victor - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Peinture intuitive et sonothérapie (bol tibétain, flûte de Pan, bol de cristal, voix…)

Plongez dans l’univers créatif et vibratoire de l’artiste peintre Lucile Soundarya et du sonothérapeute Joël Berthelot.

Paradis naturistes

Paradis naturistes - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Photographie Dessin Sciences humaines et sociales Exposition - Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes : son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques, culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.

Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ?

L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se pratique le naturisme aujourd’hui.

Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.

Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole, la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à Ascona.

Commissariat :
– Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps, apparences, sexualités.
– Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité.
– David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité.
– Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles.

Commissaires associés :
– Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles.
– Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles.

Scénographie : agence Trafik