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New Wave, Post Punk

Ploho – groupe post-punk / new wave originaire des étendues froides de la Sibérie.
Accentuant sur un son low-fi, le groupe a rapidement gagné en popularité chez lui en Russie et plus tard à l’étranger.
Ploho combine la froideur et la solitude avec le son élégant du post-punk classique. Leurs chansons parlent de la vie dans l’espace post-soviétique avec toutes ses caractéristiques : bâtiments en béton, télévision qui lave le cerveau et routine oppressante. Le groupe révèle et romance le monde d’une personne ordinaire vivant dans l’appartement d’à côté. La vie banale prend ici des images vives avec une ombre mélancolique pleine de nostalgie pour les années 90 et 00.

+ Darko’s Aufhebung
[Shoegaze / Post-Rock – FR]

• Grade 2
Alliant l’héritage musical quasi-mythique de leur Île natale de Wight à la réalité banale de leur enfance dans une ville balnéaire fatiguée, Grade 2 crache une musique punk cinglante, pleine de passion, d’angoisse, d’humour et de désespoir. Alimenté par le désir d’être entendu, mais contraint par une éthique inadaptée à la radio de jour, Grade 2 exerce son métier sur la route, rejoignant des groupes comme Dropkick Murphy’s, The Interrupters et Social Distortion pour jouer leurs chansons devant des publics fervents dans le monde entier. Leur authenticité absolue, leurs performances live tonitruantes et leur musicalité exceptionnelle leur ont valu des éloges de la part des fans de punk hardcore. Grade 2 est un groupe à voir.

Unis par leur amour du punk, du ska et du oi à l’ancienne, des amis d’enfance, Sid Ryan (chant, basse), Jacob Hull (batterie) et Jack Chatfield (guitare, chant), ont formé le groupe au début de leur adolescence, perfectionnant leur art en jouant des reprises des Clash et des Jam avant d’affiner leur propre son et leurs chansons. Une tournée européenne en soutien à Stomper 98 a suscité l’admiration et l’amitié de Lars Frederiksen de Rancid, ce qui a conduit à des présentations et à une signature sur le légendaire Hellcat Records de Tim Armstrong, cohorte de Rancid, en 2018.

Après deux albums accomplis sur le label subculturel Contra Records
Mainstream View en 2016 et Break the Routine en 2017 – le trio a décampé aux Shipwreck Studios d’Armstrong à Los Angeles pour enregistrer son premier album pour Hellcat, sous la tutelle de production du frontman de Rancid. Plein d’assurance, le résultat Graveyard Island oscille entre punk-pop à trois cordes (« Tired of it », « Murder Town ») et hymnes viscéraux à plusieurs niveaux (« Monsters », « Reality is Calling »), le tout mixé par Kevin Bivona de The Interrupters.

Grade 2 a quelque chose à dire et une façon féroce et scintillante de le faire. Allumez et écoutez. Voici un groupe qui va vous secouer les os, remuer votre cœur et vous faire chanter jusqu’à ce que vous soyez enroué comme si c’était le premier jour du punk.

• Rats Don’t Sink
Rats Don’t Sink (Les Rats Ne Coulent Pas) est un groupe de Hardcore Punk formé à Marseille en Janvier 2014.
Depuis près d’une décennie le quatuor a arpenté le Sud de la France et l’Espagne, partageant la scène avec des groupes comme The Casualties, Bishops Green, Lion’s Law, Clowns, Komintern Sect ou encore Grade 2, pour n’en citer que quelques-uns.
À ce jour ils ont sorti 4 disques : “From Sewers They Come” (EP, 2018), “Rats In The Cab” (Split avec le groupe Américain Johnny Cab, 2019), “Stubborn Rodents” (LP, 2021) et tout dernièrement “The Ratpack” (EP, Mars 2022).

Poison Ruïn est un projet sorti de Philadelphie qui s’est fait fortement remarqué dès 2020 pour son mélange unique de Punk, de Post-Punk et d’éléments de Dungeon Synth.

Formé en 2010, le groupe Belgrado, basé à Barcelone, est à la pointe de l’innovation sur la scène post-punk mondiale.

Le quatuor, qui en est à sa neuvième année d’existence, continue de jouer dans son pays et à l’étranger, fort d’une réputation fondée sur trois albums complets et d’une impressionnante carrière de tournée qui l’a mené aux quatre coins du monde.

Émergeant comme un missile d’un silo clandestin du sud-ouest de l’Ohio, The Serfs est un gang délibérément nébuleux et incidemment industriel de fervents adeptes des dance floors – des troubadours perturbés et pris de transes dont le son et l’idéologie musicale semblent être une manifestation causale de leurs environnements immédiats – des mélodies synthétiques câblées et hypnotiques côtoient des percussions barattantes et raclantes de toutes les tonalités métalliques – avec des mots et des voix capricieuses et érémitiques dictant l’aventure désespérée. Comme leurs prédécesseurs en Ohio, les Serfs semblent à l’écart de l’art qui les entoure, et fiers de l’être.

En première partie : Ask The Light